( Suite aux imbroglios des procès de l'ex-lieutenant-gouverneur, Lise Thibault.)
L'abolition du poste de vice-roi* au Québec pour stratégie menant à l'indépendance nationale
La stratégie idéale pour parvenir à l'indépendance, selon moi, c'est d'abolir ce poste de vice-roi au Québec par un vote parlementaire. Et les Québécois seraient prêts à une élection sur ce thème si le vice-roi s'avisait de dissoudre l'Assemblée nationale.
La reine d'Angleterre et le parlement de Londres ne s'opposeraient possiblement pas à cette abolition puisqu'ils étaient prêts à reconnaître l'indépendance du Québec, tout comme Washington, d'ailleurs, nous dit l'auteur Bastien dans "La bataille de Londres".
À ceux qui nous référerons à la constitution de 1982, pour nous dire que Londres et la reine ne peuvent plus intervenir en politique canadienne, disons-leur que le Québec n'a jamais signé cette constitution, qu'il ne la reconnaît pas, et ne la reconnaîtra probablement jamais dans son texte actuel.
Le Québec s'est placé un pied en dehors du Canada. Il lui reste à retirer l'autre pied pour pouvoir assumer lui-même son propre avenir de façon la plus indépendante possible parmi l'ensemble des nations de ce monde.
Alain Raby
4 place de l'Église
Saint-Jean-Port-Joli
Tél.: 1-418-598-9318
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* L'avantage du terme de vice-roi sur celui de lieutenant-gouverneur réside dans le fait qu'il situe plus précisément ce combat antimonarchiste et qu'il en permet une meilleure visibilité et sympathie à l'international.
P.-S. « Les vice-rois sont les vices du roi », me dit une amie rieuse."
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