8 novembre 2013

Déclaration unilatérale de l'indépendance

La déclaration unilatérale de l'indépendance par un vote parlementaire.

Plusieurs États l'ont fait, particulièrement en Europe centrale et dans les ex-républiques d'URSS, et ils furent reconnus par l'ONU.

Le référendum est venu après pour certains, pour d'autres il n'y a même pas eu de référendums. 

Fait à noter, le référendum est, en droit international, insuffisant pour officialiser l'indépendance, le saviez-vous ? Il faut oser ! Il existe plusieurs différentes façons de parvenir à l'indépendance, mais la Déclaration d'indépendance par l'Assemblée nationale est incontournable si le Québec veut être reconnu internationalement. Il faut arrêter d'attendre que cela vienne tout seul et créer une crise constitutionnelle majeure dont les indépendantistes devraient sortir gagnants. 

Vive le Québec libre !

Alain Raby 

18 septembre 2013

Un juste retour des choses par Zabi Naim

Paroles de Zabi Naim : « J'invite les immigrants, quelle que soit leur allégeance, à se mettre à la place des Québécois de souche et à considérer ce qui a été fait jusqu'ici pour ouvrir la société à la richesse des contrastes culturels en séparant l'État des religions, sans pour autant priver chacun de ses pratiques dans sa vie privée. » - Français Montréal

Texte complet suit.


D'origine afghane, l'auteur a immigré au Québec dans les années 80

Ma famille et moi avons fui la guerre entre les Russes et les moudjahidines en Afghanistan. Le Québec nous a accueillis, nous a enseigné sa langue, ses façons de faire et son ouverture d'esprit. Même si je suis contre le moyen par lequel la charte des valeurs québécoises a été amenée, je suis pour les principes qu'elle défend, et voici pourquoi.

Les immigrants des pays arabo-musulmans quittent leur pays natal souvent à cause des situations politiques difficiles. Ces situations sont parfois causées par un islamisme rigide et mal interprété; c'est le cas en Iran, en Afghanistan, dans les pays du Maghreb, en Arabie saoudite.

Certains autres immigrants, d'allégeances religieuses différentes, quittent aussi leur pays pour des raisons similaires, qu'ils soient juifs, hindous, sikhs, chrétiens orthodoxes ou autre.

Ce que beaucoup d'immigrants issus de ces communautés oublient, c'est que le Québec nous offre: la sécurité civile, l'égalité homme-femme, l'assurance maladie, la liberté de penser et de nous exprimer, un système judiciaire digne de ce nom, la liberté de pratiques religieuses diverses, une éducation ouverte sur les différences, des services sociaux qui tiennent compte de cultures variées et beaucoup plus. En tant qu'immigrant, on reçoit beaucoup!

Et c'est ce qui m'amène à poser les questions suivantes: que donnons-nous en retour? Est-ce légitime de refuser de retirer un symbole religieux au travail en échange de tout ce que cette société fait pour nous?

Certains diront: «Nous contribuons à la société en y amenant notre richesse culturelle et en participant à la vie économique». Oui, mais est-ce assez? Est-ce assez pour s'intégrer? Et voulons-nous vraiment nous intégrer? Nos enfants, eux, le veulent.

On vit dans une société laïque pour laquelle des Québécois se sont battus et ont fait des sacrifices. Et aujourd'hui, certains groupes aimeraient qu'on recule dans le temps. Rappelons-nous le Québec des curés, 100% catholique. Serions-nous reçus comme nous le sommes aujourd'hui en tant que musulmans, juifs, sikhs, ou hindous? Je me pose la question.

Je reçois beaucoup de la société québécoise depuis que j'y vis et c'est un juste retour des choses pour moi que de faire ma part pour m'y intégrer. Un des éléments de cette intégration est de vivre et de pratiquer ma religion chez moi et dans les endroits prescrits: mosquées, églises, synagogues, temples, etc.

La société qui nous accueille considère qu'il est favorable de retirer les symboles religieux qui nous distinguent pour faciliter la cohabitation. Je suis d'accord et je trouve cette demande légitime pour protéger les acquis de cette collectivité en ce qui a trait aux droits des femmes et du droit commun.

J'invite les immigrants, quelle que soit leur allégeance, à se mettre à la place des Québécois de souche et à considérer ce qui a été fait jusqu'ici pour ouvrir la société à la richesse des contrastes culturels en séparant l'État des religions, sans pour autant priver chacun de ses pratiques dans sa vie privée.

La charte vise à établir les balises nécessaires pour faciliter le vivre ensemble.
Publié le 17 septembre 2013 à 05h00 | Mis à jour à 05h00
Un juste retour des choses Zabi Naim

10 septembre 2013

J’accepte le contrat tacite



Les indignés du Québec vous proposent une réflexion sur le contrat tacite des gens qui dorment

Le système mis en place dans notre monde libre repose sur l’accord tacite d’une sorte de contrat passé avec chacun d’entre nous dont voici, dans les grandes lignes, le contenu. Voici le contrat reconductible par tacite reconduction que vous signez chaque matin en vous réveillant simplement et ne faisant rien. Mes chers amis, Le 11 septembre marque le triste anniversaire d’une catastrophe hautement symbolique pour l’humanité. Peu importe nos croyances ou nos idées politiques, le système mis en place dans notre monde libre repose sur l’accord tacite d’une sorte de contrat passé avec chacun d’entre nous, dont voici dans les grandes lignes le contenu :

1) J’accepte la compétition comme base de notre système, même si j’ai conscience que ce fonctionnement engendre frustration et colère pour l’immense majorité des perdants,

2) J’accepte d’être humilié ou exploité a condition qu’on me permette a mon tour d’humilier ou d’exploiter quelqu’un occupant une place inférieure dans la pyramide sociale,

3) J’accepte l’exclusion sociale des marginaux, des inadaptés et des faibles car je considère que le prise en charge de la société a ses limites,

4) J’accepte de rémunérer les banques pour qu’elles investissent mes salaires à leur convenance, et qu’elles ne me reversent aucun dividende de leurs gigantesques profits qui serviront a dévaliser les pays pauvres, ce que j’accepte implicitement). J’accepte aussi qu’elle prélèvent une forte commission pour me prêter de l’argent qui n’est autre que celui des autres clients,

5) J’accepte que l’on congèle et que l’on jette des tonnes de nourriture pour ne pas que les cours s’écroulent, plutôt que de les offrir aux nécessiteux et de permettre à quelques centaines de milliers de personnes de ne pas mourir de faim chaque année,

 6) J’accepte qu’il soit interdit de mettre fin à ses jours rapidement, en revanche je tolère qu’on le fasse lentement en inhalant ou ingérant des substances toxiques autorisées par les états,

7) J’accepte que l’on fasse la guerre pour faire régner la paix. J’accepte qu’au nom de la paix, la première dépense des états soit le budget de la défense. J’accepte donc que des conflits soient créés artificiellement pour écouler les stocks  d’armes et faire tourner l’économie mondiale,

8) J’accepte l’hégémonie du pétrole dans notre économie, bien qu’il s’agisse d’une énergie coûteuse et polluante, et je suis d’accord pour empêcher toute tentative de substitution, s’il s’avérait que l’on découvre un moyen gratuit et illimité de produire de l’énergie, ce qui serait notre perte,

9) J’accepte que l’on condamne le meurtre de son prochain, sauf si les états décrètent qu’il s’agit d’un ennemi et nous encouragent à le tuer,

10) J’accepte que l’on divise l’opinion publique en créant des partis de droite et de gauche qui passeront leur temps à se combattre en me donnant l’impression de faire avancer le système. j’accepte d’ailleurs toutes sortes de divisions possibles, pourvu qu’elles me permettent de focaliser ma colère vers les ennemis désignés dont on agitera le portrait devant mes yeux,

11) J’accepte que le pouvoir de façonner l’opinion publique, jadis détenu par les religions, soit aujourd’hui aux mains d’affairistes non élus démocratiquement et totalement libres de contrôler les états, car je suis convaincu du bon usage qu’ils en feront,

12) J’accepte l’idée que le bonheur se résume au confort, l’amour au sexe, et la liberté à l’assouvissement de tous les désirs, car c’est ce que la publicité me rabâche toute la journée. Plus je serai malheureux et plus je consommerai : je remplirai mon rôle en contribuant au bon fonctionnement de notre économie,

13) J’accepte que la valeur d’une personne se mesure à la taille de son compte bancaire, qu’on apprécie son utilité en fonction de sa productivité plutôt que de sa qualité, et qu’on l’exclue du système si elle n’est plus assez productive,

14) J’accepte que l’on paie grassement les joueurs de football ou des acteurs, et beaucoup moins les professeurs et les médecins chargés de l’éducation et de la santé des générations futures,

15) J’accepte que l’on mette au banc de la société les personnes âgées dont l’expérience pourrait nous être utile, car étant la civilisation la plus évoluée de la planète (et sans doute de l’univers) nous savons que l’expérience ne se partage ni ne se transmet,

16) J’accepte que l’on me présente des nouvelles négatives et terrifiantes du monde tous les jours, pour que je puisse apprécier a quel point notre situation est normale et combien j’ai de la chance de vivre en occident. je sais qu’entretenir la peur dans nos esprits ne peut être que bénéfique pour nous,

17) J’accepte que les industriels, militaires et politiciens se réunissent régulièrement pour prendre sans nous concerter des décisions qui engagent l’avenir de la vie et de la planète,

 18) J’accepte de consommer de la viande bovine traitée aux hormones sans qu’on me le signale explicitement. J’accepte que la culture des OGM se répande dans le monde entier, permettant ainsi aux trusts de l’agroalimentaire de breveter le vivant, d’engranger des dividendes conséquents et de tenir sous leur joug l’agriculture mondiale,

19) J’accepte que les banques internationales prêtent de l’argent aux pays souhaitant s’armer et se battre, et de choisir ainsi ceux qui feront la guerre et ceux qui ne la feront pas. Je suis conscient qu’il vaut mieux financer les deux bords afin d’être sûr de gagner de l’argent, et faire durer les conflits le plus longtemps possible afin de pouvoir totalement piller leurs ressources s’ils ne peuvent pas rembourser les emprunts,

20) J’accepte que les multinationales s’abstiennent d’appliquer les progrès sociaux de l’occident dans les pays défavorisés. Considérant que c’est déjà une embellie de les faire travailler, je préfère qu’on utilise les lois en vigueur dans ces pays permettant de faire travailler des enfants dans des conditions inhumaines et précaires. Au nom des droits de l’homme et du citoyen, nous n’avons pas le droit de faire de l’ingérence,

21) J’accepte que les hommes politiques puissent être d’une honnêteté douteuse et parfois même corrompus. je pense d’ailleurs que c’est normal au vu des fortes pressions qu’ils subissent. Pour la majorité par contre, la tolérance zéro doit être de mise,

22) J’accepte que les laboratoires pharmaceutiques et les industriels de l’agroalimentaire vendent dans les pays défavorisés des produits périmés ou utilisent des substances cancérigènes interdites en occident,

23) J’accepte que le reste de la planète, c’est-à-dire quatre milliards d’individus, puisse penser différemment à condition qu’il ne vienne pas exprimer ses croyances chez nous, et encore moins de tenter d’expliquer notre Histoire avec ses notions philosophiques primitives, 

24) J’accepte l’idée qu’il n’existe que deux possibilités dans la nature, à savoir chasser ou être chassé. Et si nous sommes doués d’une conscience et d’un langage, ce n’est certainement pas pour échapper à cette dualité, mais pour justifier pourquoi nous agissons de la sorte,

25) J’accepte de considérer notre passé comme une suite ininterrompue de conflits, de conspirations politiques et de volontés hégémoniques, mais je sais qu’aujourd’hui tout ceci n’existe plus car nous sommes au summum de notre évolution, et que les seules règles régissant notre monde sont la recherche du bonheur et de la liberté de tous les peuples, comme nous l’entendons sans cesse dans nos discours politiques,

26) J’accepte sans discuter et je considère comme vérités toutes les théories proposées pour l’explication du mystère de nos origines. Et j’accepte que la nature ait pu mettre des millions d’années pour créer un être humain dont le seul passe-temps soit la destruction de sa propre espèce en quelques instants

27) J’accepte la recherche du profit comme but suprême de l’Humanité, et l’accumulation des richesses comme l’accomplissement de la vie humaine,

28) J’accepte la destruction des forêts, la quasi-disparition des poissons de rivières et de nos océans. J’accepte l’augmentation de la pollution industrielle et la dispersion de poisons chimiques et d’éléments radioactifs dans la nature. J’accepte l’utilisation de toutes sortes d’additifs chimiques dans mon alimentation, car je suis convaincu que si on les y met, c’est qu’ils sont utiles et sans danger,

29) J’accepte la guerre économique sévissant sur la planète, même si je sens qu’elle nous mène vers une catastrophe sans précédent,

30) j’accepte cette situation, et j’admets que je ne peux rien faire pour la changer ou l’améliorer,

31) J’accepte d’être traité comme du bétail, car tout compte fait, je pense que je ne vaux pas mieux,

32) J’accepte de ne poser aucune question, de fermer les yeux sur tout ceci, et de ne formuler aucune véritable opposition car je suis bien trop occupé par ma vie et mes soucis. J’accepte même de défendre à la mort ce contrat si vous me le demandez,

33) J’accepte donc, en mon âme et conscience et définitivement, cette triste matrice que vous placez devant mes yeux pour m’empêcher de voir la réalité des choses. Je sais que vous agissez pour mon bien et pour celui de tous, et je vous en remercie.

Fait par amitié sur la Terre, le 11 septembre 2003.

Note : Pour voir les photos et visionner les vidéos qui accompagnent ce texte cliquez sur le lien :
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Source : http://lesindignesduquebec.wordpress.com/2013/03/01/jaccepte-le-contrat-tacite/

MANIFESTE (1958 - République québécoise de Raymond Barbeau)

Alliance Laurentienne : MANIFESTE (1958 - République québécoise de Raymond Barbeau)
19 mars 2013, à 00:33

Alliance Laurentienne : Manifeste

L'Alliance Laurentienne est un mouvement patriotique qui groupe des Canadiens français de tous les milieux, de tous les âges et de toutes les conditions. Fondé en 1957, il se propose comme but principal de répandre l'idée de l'indépendance de la Province de Québec et de la création de la République de Laurentie.

Le nationalisme laurentien basé sur l'amour de la nation canadienne-française, de l'État et du peuple québécois est légitime puisqu'il est conforme à l'ordre divin. Cet amour qui n'exclut pas l'amour des autres peuples, même des Anglais et des CANADIANS, est intimement lié à nos origines, à notre milieu, à notre hérédité, à une sorte de déterminisme historique et géographique, et il s'appuie sur la mission catholique et française qui nous a été léguée et que nous devons, à tout prix, perpétuer dans le temps de l'espace.

La Confédération canadienne menace l'unté politique de notre peuple de cinq millions de population, nous conteste nos droits les plus élémentaires, nous usurpe des droits sacrés inscrits dans la constitution, arrête injustement notre expansion économique, offense nos nationaux au mépris du droit des gens, cherche à créer des combinaisons interprovinciales propres à léser notre dignité et nos légitimes influences, et pour sauver notre prestige et notre honneur, nous n'avons pas d'autres choix que de réclamer la souveraineté de l'État du Québec. Au fond du nationalisme laurentien, il y a une aspiration naturelle, pour notre peuple, à se constituer en une nation pleinement indépendante, autonome à l'intérieur et souveraine à l'extérieur.

Toutes les fois qu'une nation est menacée, des hommes se lèvent pour réclamer justice. Actuellement, regardons ce qui arrive dans les états arabes. Le panarabisme secoue une partie du monde; dans l'autre partie, c'est le panslavisme qui devient particulièrement menaçant, ailleurs, c'est la montée des peuples noirs, le réveil du péril jaune qui surgit. Sur notre continent, le sentiment d'AMERICA FIRST est solidement implanté, et plus près de nous encore, le pan-canadianisme préoccupe beaucoup les CANADIANS, en face du colosse américain. Les Canadiens français nationalistes suivent la marche de l'histoire. La sécession du Québec de la Confédération est donc la seule solution devant les menaces accumulées de la centralisation et de l'assimilation anglo-saxonnes. Que notre peuple en vienne à croître normalement, à se garder des pénétrations et annexions étrangères, qu'il conquière enfin son indépendance, selon le principe de l'autodétermination, et alors le nationalisme laurentien aura atteint son objectif.

L'idéal de notre peuple et sa vie ne demandent pas que nous nous enfermions en vase clos dans nos frontières, que nous ignorions les autres peuples et que nous nous fassions ignorer d'eux, et encore moins que nous les haïssions. Dans toute race, par-dessus les caractères propres, il y a l'humanité et ce n'est pas la desservir que de vouloir devenir adultes et libres. On prétend que la lutte des classes est un fait nécessaire et universel. Au contraire, c'est la lutte entre clans, tribus, nations et empires qui engendre les haines, les misères, les guerres et le despotisme. L'harmonie et la paix reviendront dans le monde lorsque chaque nation sera libre : « LIBRE POUR LES PERSONNES, LIBERTÉ POUR LES PEUPLES ! »

Que la nation laurentienne se pose fièrement en face des autres nations, elle prend alors au dedans le visage d'une personnalité forte qui sait ce qu'elle veut, qui le veut bien et qui ramasse en elle les énergies intellectuelles, morales et économiques d'où dépendent sa prospérité et son influence. Notre peuple possède un corps et une âme. Mais il lui manque un cerveau qui est l'ÉTAT LIBRE, et où se réféchissent toutes les aspirations nationales, et d'où partent les directives qui doivent promouvoir dans tous les sens la vitalité de la nation. Pour réalises nos ambitions et poursuivre notre destinée lorsque l'heure sera venue de vivre normalement, le gouvernement laurentien de la Province de Québec devra :

Proclamer la souveraineté nationale, constitutionnelle et politique de l'État du Québec en vue d'obtenir la reconnaissance internationale de la RÉPUBLIQUE DE LAURENTIE.

Abolir les allégeances, dominations et asservissements étrangers dans les affaires intérieures et extérieures de l'État national de Laurentie.

Regarder, à toutes fins pratique, la Loi de l'Amérique britannique du Nord et le Statut de Westminster comme des pactes inexistants, puisque le Gouvernement confédéral du Canada a violé impunément tous les articles fondamentaux de ces constitutions coloniales et impérialistes.

Procéder, par des moyens légaux et parlementaires, à l'établissement progressif de la République de Laurentie qui répond aux espoirs historiques, aux droits inaliénables et aux ambitions légitimes de notre peuple.

Opérer une réorganisation complète des structures du Sénat, des Ministères et du Parlement provincial, dans le but de promouvoir une administration gouvernementale au service du bien commun de tous les citoyens.

Protéger les citoyens et le territoire actuel de la Province de Québec par l'établissement d'une armée défensive.

Respecter intégralement et reconnaître, en principe comme en fait, les droits des minorités dans l'État libre de Laurentie.

Instaurer, comme régime économique et comme base de justice sociale, les formes d'organisations corporatives.

Exiger la neutralité de la République de Laurentie en cas de guerre.

Développer efficacement et, au besoin, nationaliser les ressources naturelles du pays.

Réaliser un gouvernement laurentien d'inspiration chrétienne, qui perpétuera les saines traditions et permettra l'épanouissement complet du peuple canadien-français, selon la formule : « Un gouvernement de la Patrie, par la Nation, pour le Peuple. »

Alliance LaurentienneLaurentie, La Souveraineté Nationale pour la RÉPUBLIQUE DE LAURENTIE

Organe de l'Alliance Laurentienne Numéro 101 - Septembre 1958 - Pages 227 à 230

25 août 2013

Le revenu de base : un nouveau droit humain

Déclaration universelle des droits de l'homme

Article 25
1. Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.

À propos du revenu de base... voyez comment la population européenne s'organise et démontre le sérieux de l'affaire, ne soyons pas en retard sur l'Europe, visionnez le vidéo et si vous êtes d'accord parlez s'en à tous ceux qui vous entourent :

http://youtu.be/pZOUv5QQMz0

source « Déclaration universelle des droits de l'homme » : http://www.un.org/fr/documents/udhr/ 

21 août 2013

SIGNEZ CETTE PÉTITION



SIGNEZ CETTE PÉTITION
Au gouvernement du Nouveau Brunswick, nous demandons le maintien des conditions pour une main-d'œuvre bilingue de 50% dans la fonction publique, suite aux sorties médiatiques de certains groupes et individus, qui se prononcent contre la dualité linguistique ainsi que le bilinguisme institutionnel qui fait la fierté de notre province bilingue.


http://www.avaaz.org/fr/petition/Maintenir_les_acquis_des_Acadiens_du_Nouveau_Brunswick/?ctpwfdb

18 août 2013

Le criminel c’est l’électeur

Écrit en 1906:
Le criminel c’est l’électeur
Par : Albert Libertad

Je me suis permis d'ajouter cette photo que je trouvais pertinente au texte. AL


L’Anarchie, 1er mars 1906

C’est toi le criminel, ô Peuple, puisque c’est toi le Souverain. Tu es, il est vrai, le criminel inconscient et naïf. Tu votes et tu ne vois pas que tu es ta propre victime.

Pourtant n’as-tu pas encore assez expérimenté que les députés, qui promettent de te défendre, comme tous les gouvernements du monde présent et passé, sont des menteurs et des impuissants ?

Tu le sais et tu t’en plains ! Tu le sais et tu les nommes ! Les gouvernants quels qu’ils soient, ont travaillé, travaillent et travailleront pour leurs intérêts, pour ceux de leurs castes et de leurs coteries.

Où en a-t-il été et comment pourrait-il en être autrement ? Les gouvernés sont des subalternes et des exploités : en connais-tu qui ne le soient pas ?

Tant que tu n’as pas compris que c’est à toi seul qu’il appartient de produire et de vivre à ta guise, tant que tu supporteras, - par crainte,- et que tu fabriqueras toi-même, - par croyance à l’autorité nécessaire,- des chefs et des directeurs, sache-le bien aussi, tes délégués et tes maîtres vivront de ton labeur et de ta niaiserie. Tu te plains de tout ! Mais n’est-ce pas toi l’auteur des mille plaies qui te dévorent ?

Tu te plains de la police, de l’armée, de la justice, des casernes, des prisons, des administrations, des lois, des ministres, du gouvernement, des financiers, des spéculateurs, des fonctionnaires, des patrons, des prêtres, des proprios, des salaires, des chômages, du parlement, des impôts, des gabelous, des rentiers, de la cherté des vivres, des fermages et des loyers, des longues journées d’atelier et d’usine, de la maigre pitance, des privations sans nombre et de la masse infinie des iniquités sociales.

Tu te plains ; mais tu veux le maintien du système où tu végètes. Tu te révoltes parfois, mais pour recommencer toujours. C’est toi qui produis tout, qui laboures et sèmes, qui forges et tisses, qui pétris et transformes, qui construis et fabriques, qui alimentes et fécondes !

Pourquoi donc ne consommes-tu pas à ta faim ? Pourquoi es-tu le mal vêtu, le mal nourri, le mal abrité ? Oui, pourquoi le sans pain, le sans souliers, le sans demeure ? Pourquoi n’es-tu pas ton maître ? Pourquoi te courbes-tu, obéis-tu, sers-tu ? Pourquoi es-tu l’inférieur, l’humilié, l’offensé, le serviteur, l’esclave ?

Tu élabores tout et tu ne possèdes rien ? Tout est par toi et tu n’es rien.

Je me trompe. Tu es l’électeur, le votard, celui qui accepte ce qui est ; celui qui, par le bulletin de vote, sanctionne toutes ses misères ; celui qui, en votant, consacre toutes ses servitudes.

Tu es le volontaire valet, le domestique aimable, le laquais, le larbin, le chien léchant le fouet, rampant devant la poigne du maître. Tu es le sergot, le geôlier et le mouchard. Tu es le bon soldat, le portier modèle, le locataire bénévole. Tu es l’employé fidèle, le serviteur dévoué, le paysan sobre, l’ouvrier résigné de ton propre esclavage. Tu es toi-même ton bourreau. De quoi te plains-tu ?

Tu es un danger pour nous, hommes libres, pour nous, anarchistes. Tu es un danger à l’égal des tyrans, des maîtres que tu te donnes, que tu nommes, que tu soutiens, que tu nourris, que tu protèges de tes baïonnettes, que tu défends de ta force de brute, que tu exaltes de ton ignorance, que tu légalises par tes bulletins de vote, - et que tu nous imposes par ton imbécillité.

C’est bien toi le Souverain, que l’on flagorne et que l’on dupe. Les discours t’encensent. Les affiches te raccrochent ; tu aimes les âneries et les courtisaneries : sois satisfait, en attendant d’être fusillé aux colonies, d’être massacré aux frontières, à l’ombre de ton drapeau.

Si des langues intéressées pourlèchent ta fiente royale, ô Souverain ! Si des candidats affamés de commandements et bourrés de platitudes, brossent l’échine et la croupe de ton autocratie de papier ; Si tu te grises de l’encens et des promesses que te déversent ceux qui t’ont toujours trahi, te trompent et te vendront demain : c’est que toi-même tu leur ressembles. C’est que tu ne vaux pas mieux que la horde de tes faméliques adulateurs. C’est que n’ayant pu t’élever à la conscience de ton individualité et de ton indépendance, tu es incapable de t’affranchir par toi-même. Tu ne veux, donc tu ne peux être libre.

Allons, vote bien ! Aies confiance en tes mandataires, crois en tes élus.

Mais cesse de te plaindre. Les jougs que tu subis, c’est toi-même qui te les imposes. Les crimes dont tu souffres, c’est toi qui les commets. C’est toi le maître, c’est toi le criminel, et, ironie, c’est toi l’esclave, c’est toi la victime.

Nous autres, las de l’oppression des maîtres que tu nous donnes, las de supporter leur arrogance, las de supporter ta passivité, nous venons t’appeler à la réflexion, à l’action [sic].

Allons, un bon mouvement : quitte l’habit étroit de la législation, lave ton corps rudement, afin que crèvent les parasites et la vermine qui te dévorent. Alors seulement du pourras vivre pleinement.

LE CRIMINEL, c’est l’Électeur !

Note : Texte colligé : https://www.facebook.com/groups/421256641259994/permalink/596416697077320/

L’UTILISATION POLITIQUE DU SYNDROME DE STOCKHOLM



Par François HARVEY, reporter, porte-parole du Mouvement des Québécois 
- le dimanche 18 août 2013 

SAINT-OURS, QUÉBEC-Le syndrome de Stockholm survient quand, après un certain temps de captivité, un otage ou un prisonnier se prend d’affection pour ses geôliers. Notre société, notre pays n’est pas libre. Il est sous le joug des puissances d’argent qui usent de leurs pouvoirs pour garder captive la main-d’œuvre dont il a besoin. Cette captivité s’étend lourdement dans le temps pendant toute la vie active des individus ainsi assujettis, période pendant laquelle la machine de propagande des tenants du réel pouvoir diffuse sa désinformation, de l’intoxication à destination de ses prisonniers. Ainsi, ceux-ci distinguent difficilement les chaînes qui les enserrent et qui en tient les bouts, mais savent néanmoins confusément qu’ils souffrent d’aliénation. Il demeure qu’ils n’ont pas de marge de manœuvre le long du chemin balisé pendant la semaine de quarante heures et les diverses contraintes et obligations dont ils font l’objet. Ainsi détenus au cœur même de la vie civile, ils en viennent néanmoins à éprouver de l’empathie pour les chefs qu’on leur propose, empathie dont bénéficient les oligarchies réelles détentrices du pouvoir.

Le syndrome de Stockholm, pour fonctionner, implique que l’assujettissement dure suffisamment longtemps pour faire cet effet. Pas de problème chez nous, l’état d’asservissement du peuple québécois dure depuis la Conquête, il est ancré dans nos mœurs et retransmis quasi-génétiquement générations après générations. Il permet de faire croire aux gens que les oligarchies éprouvent une réelle sympathie pour eux et qu’elles oeuvrent pour leur bien, alors que c’est tout le contraire qui se passe en réalité. Munis d’un vaste appareil médiatique, les possédants opèrent un véritable lavage de cerveau sur les masses, il embrouille la réalité et empêche de prendre conscience de la vérité.
Dès lors, comment en finir avec ce syndrome de Stockholm? Il convient d’abord de développer des moyens de communication qui attaqueront sans relâche l’image même des oligarques, de leur casser le portrait, de sorte qu’apparaisse leur véritable visage. Il importe de jeter une lumière crue sur leurs habitudes de vie, leurs visées, leurs actions, de diffuser le plus largement possible leurs turpitudes, et de le faire suffisamment longtemps pour que les gens reviennent à la réalité et veuillent reprendre en main leurs destinées. Il faut répéter les messages, varier la force des éclairages, désigner l’ombre des actions que les véritables geôliers du peuple projette sur le sol national, en dessiner les contours, et frapper sans relâche sur les oligarques de sorte qu’apparaisse leur véritable nature. Ainsi, les gens peuvent alors se secouer, se réveiller, en réveiller d’autres, et opérer un véritable mouvement transversal de libération.

Source : www.facebook.com/...

DIFFUSEZ LARGEMENT SVP

15 août 2013

Le premier événement de la Fête de la république


Le mouvement Carré bleu a tenu une  activité pour créer la FÊTE DE LA RÉPUBLIQUE.

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À suivre

18 juillet 2013

LA SSJB vous invite à célébrer le retour de la cloche de Batoche en hommage à Louis Riel et au peuple métis !



Samedi 20 juillet 2013 à 11 h à la maison Ludger-Duvernay
82, rue Sherbrooke Ouest, Montréal
(angle Saint-Urbain, métro Place-des-Arts)

La Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJB), qui a appuyé Louis Riel et la nation métisse du Nord-Ouest depuis les rébellions de 1870 et 1885, vous invite à une conférence avec Raymond Cyr, représentant du Mouvement Métis Est-Ouest, de la Communauté métisse de l'Estrie et membre de l'Union nationale métisse Saint-Joseph du Manitoba, Mario Beaulieu (président de la SSJBM) et Christian Gagnon (conseiller général, SSJBM).

Pour l’occasion, le drapeau métis flottera devant la maison Ludger-Duvernay. On se souviendra qu’en 1885, la SSJBM avait pris la tête de la campagne contre l’exécution de Louis Riel, chef des Métis canadiens-français. Des dizaines de milliers de personnes étaient descendues dans les rues de Montréal et avaient inondé de lettres le gouvernement canadien. Le premier ministre, Sir John A. Macdonald, qui empêcha que la peine de Riel fût commuée ou révisée, déclara à cette époque : « Il sera pendu, même si tous les chiens du Québec aboient en sa faveur ». Majoritaires en 1870, les francophones du Manitoba (langue parlée à la maison) forment maintenant moins de 2 % de la population (moins de 0,5 % en Saskatchewan).

Le 6 juillet dernier, l’Union nationale métisse Saint-Joseph du Manitoba (UNMSJM) annonçait le retour de la fameuse cloche au village de Batoche, en Saskatchewan. La cloche sera remise officiellement dans son clocher d’origine au cours d’une cérémonie , le 20 juillet 2013, qui réunira des dizaines de milliers de Métis du Canada et des États-Unis (http://www.radio-canada.ca/regions/manitoba/2013/06/17/006-annonce-retour-cloche-batoche.shtml). Pour bien saisir l'intérêt de cette nouvelle pour les francophones d’Amérique, écoutez la très intéressante émission de « Tout le monde en parlait » du 31 juillet 2012 (http://www.radio-canada.ca/emissions/tout_le_monde_en_parlait/2012/Reportage.asp?idDoc=235667), qui donne une bonne idée de la persistante culture orangiste du sud de l'Ontario.

La cloche de l’église de Batoche avait été dérobée après le massacre des Métis par l’armée canadienne en mai 1885. Capturé lors de cette même bataille, Louis Riel, maintenant reconnu comme fondateur du Manitoba, a été pendu le 16 novembre 1885 à Regina, au terme d’un procès considéré aujourd’hui comme un véritable simulacre de justice.

Longtemps disparue, la cloche se trouva jusqu’en 1931 au sommet de la caserne des pompiers de Millbrook (Ontario). Elle a ensuite été exposée à titre de butin de guerre à la Légion canadienne locale. Tout au long des années 1980, les vétérans de Millbrook considéraient encore Louis Riel et ses troupes comme des traîtres au Canada et ont toujours refusé de répondre favorablement aux demandes répétées des Métis de leur rendre leur cloche. Puis en 1991, quelques jours après la visite d’une délégation métisse, la Légion de Millbrook était cambriolée. Disparue à nouveau pendant 22 ans, la cloche sera enfin de retour samedi prochain.

La SSJB est fière de manifester sa solidarité avec le peuple métis, héritier de Louis Riel. Par le retour de la cloche, les Métis et les francophones de l'Ouest retrouveront une partie de leur dignité.

11 juin 2013

Sir Wilfrid Laurier en 1907

Sir Wilfrid Laurier en 1907
HISTOIRE DU CANADA

Et puis vinrent ceux qui savaient mieux et pouvaient tout faire correctement !

Photo de 1907 que l’on devrait faire circuler.
Je crois que c'est un courriel qui doit être transmis jusqu'à ce que chaque Canadien avec un ordinateur l’ait reçu.
L'année est 1907, soit 104 ans passés.

LIRE LE TEXTE SOUS LA PHOTO !
Sir Wilfrid Laurier

Ce que pensait Wilfrid Laurier des immigrants désirant devenir Canadiens en 1907.

« En premier lieu, nous devrions insister pour que si l'immigrant qui vient ici est de bonne foi de devenir un Canadien et s'assimiler à nous, il doit être traité sur un pied d'égalité avec ceux des nôtres, car il serait outrageant d’agir avec discrimination envers une telle personne en raison de la croyance, ou lieu de la naissance ou de son origine. Mais cela repose sur la personne de devenir un Canadien dans tous les aspects, et rien d'autre qu'un Canadien. Il ne peut y avoir aucune allégeance divisée ici. Tout homme qui dit qu'il est un Canadien, mais autre chose aussi en essayant de nous imposer ses coutumes et habitudes, n'est pas un Canadien. Nous avons de la place pour un seul drapeau, le drapeau canadien. Il n'y a de place que pour deux langues ici, l’anglais et le français. Et nous avons de la place pour la loyauté, mais une seule, et c'est une loyauté envers le peuple canadien. Nous n'accepterons personne, je dis bien, personne qui essayera de nous imposer sa religion ou ses mœurs. »
Wilfrid Laurier, 1907



Tout citoyen canadien devrait prendre connaissance de cet article.

FAITES CIRCULER CE DOCUMENT

2 mai 2013

INCOHÉRENCE DU PARTI LIBÉRAL


Je fais suivre un courriel reçu de :

Date : 30 avril 2013 23:22
Objet : INCOHÉRENCE DU PARTI LIBÉRAL
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INCOHÉRENCE DU PARTI LIBÉRAL
Un appel aux députées et députés libéraux

Impératif français et l'incohérence du Parti libéral

Le Parti libéral et le projet de loi 14

Philippe Couillard, chef du PLQ
 Comment un parti qui, sous Robert Bourassa, en 1974, a fait du français la seule langue officielle  du Québec, et ce, avant même l'élection du Parti québécois à la tête du gouvernement, peut aujourd'hui, sous Philippe Couillard, refuser l'étude détaillée du projet de loi 14 pour moderniser et renforcer la Charte de la langue française vieille de 35 ans, si ce n'est pour répondre à un lobby électoral majoritairement anglophone ?

Pour quelle raison le Parti libéral du Québec de 2013 est-il incapable de reconnaître le recul du français au Québec, très bien documenté notamment dans le monde du travail, si ce n'est par crainte de perdre des votes au sein de son électorat anglophone ?

En 2010, l'ex-ministre, Christine Saint-Pierre, avait pourtant reconnu qu'il y avait péril en la demeure en déposant à l'Assemblée nationale le projet de loi 103, Loi modifiant la Charte de la langue française et d'autres dispositions législatives. Dans ce projet de loi qui fut relégué aux oubliettes, le Parti libéral proposait des mesures de renforcement de la Charte de la langue française en imposant l'adoption de politiques linguistiques pour les établissements d'enseignement collégial et universitaire, les organismes municipaux et les organismes de l'Administration. En outre, le Parti libéral était prêt à modifier la Charte des droits et libertés de la personne « pour y consacrer l'importance du français, la langue officielle du Québec ». Enfin, si dans le projet de loi 115 qui a remplacé le projet de loi 103 les mesures précédentes ont été abandonnées, celle relative à l'augmentation des montants des amendes pour les infractions à la Charte a été mise en place sûrement pour contrer la bilinguisation à outrance de la langue du commerce et des affaires.

Trois ans plus tard, renonçant à poursuivre ses propres initiatives inscrites dans le projet de loi 103 pour « assurer la pérennité du français au Québec », le Parti libéral a décidé de cesser toute réflexion et a plutôt choisi de s'opposer systématiquement au projet de loi 14. Ce même parti était pourtant prêt à insérer dans la Charte de la langue française que « le français est la langue officielle du Québec et qu'il constitue un élément fondamental de son patrimoine culturel et de sa cohésion sociale ».

Face à ce recul inadmissible, Impératif français lance un appel aux députées et députés libéraux pour les inviter à placer les intérêts supérieurs du Québec au-dessus de toute partisanerie et les enjoint de participer de bonne foi à l'étude détaillée du projet de loi 14. Si tel n'est pas le cas, il faudra, selon le président d'Impératif français, Jean-Paul Perreault, se rendre à l'évidence et reconnaître que la position du Parti libéral actuel est « la plus anti-québécoise de l'histoire libérale du Québec ».

Adresses utiles :

Philippe Couillard
Chef du Parti libéral du Québec
philippe@philippecouillard.com

Marc Tanguay
Porte-parole de l'opposition officielle, Parti libéral, pour la Charte de la langue française
marc.tanguay-lafo@assnat.qc.ca

François Legault
Coalition avenir Québec
Chef du deuxième groupe d'opposition
flegault-asso@assnat.qc.ca

Nathalie Roy
Porte-parole du deuxième groupe d'opposition, CAQ, pour la Charte de la langue française
nroy-mota@assnat.qc.ca

Diane De Courcy
Ministre responsable de la Charte de la langue française
cabinet@micc.gouv.qc.ca

Adresses électroniques de votre député(e) :
http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/index.html#listeDeputes

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Source :
Jean-Paul Perreault
Président
Mouvement Impératif français
Recherche et communications
Tél. : 819 684-8460 ou 613 282-7110
www.imperatif-francais.org

Abolir le poste de lieutenant-gouverneur et... Ce qui manque dans la constitution de 1982


 Ci-joint un courriel reçu de mon ami Alain Raby, un grand patriote et militant infatigable pour la cause fondamentale qui est de faire de notre cher pays un pays de liberté et indépendant.
André Lepage

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De : Alain Raby
Date : 25 avril 2013 22:31
À : undisclosed recipients:
Abolir le poste de lieutenant-gouverneur et...
Ce qui manque dans la constitution de 1982.
Alain Raby
Tribune libre de Vigile
jeudi 25 avril 2013


Quelques conditions primordiales avant de signer la constitution canadienne de 1982.
1- Que le poste de lieutenant-gouverneur au Québec soit aboli tout comme toutes autres institutions monarchistes. Les Québécois ne veulent plus de ce régime colonial.
2- Que le Canada anglais accepte que le Québec se dote éventuellement d'un régime politique républicain.
3- Que le Canada anglais accepte le principe démocratique établi du 50 % +1 vote lors du prochain référendum pour l'indépendance du Québec.
4- Que le Canada anglais s'engage à respecter la volonté de la Nation québécoise et de son peuple le jour où l'indépendance nationale sera proclamée.
5- Que la langue française est la langue officielle du Québec
6- Que les réalisations québécoises, telles le Mouvement Desjardins et ses caisses populaires, Hydro-Québec, Caisse de dépôt, etc. soient intouchables.
7- Lesquelles ajouteriez-vous ?
En attendant la première véritable constitution du Québec et bien sûr, la pleine autodétermination politique du Québec,

Alain Raby
4 place de l'Église
Saint-Jean-Port-Joli
Tél.: 418-598-9318

Un symbole archaïque - pétition demandant l'abolition du poste de lieutenant-gouverneur

Un geste important pour supprimer un symbole archaïque
Initiée par le Rassemblement pour un Pays souverain (RPS) et parrainée par Daniel Goyer, député de Deux-Montagnes, une pétition demandant l'abolition du poste de lieutenant-gouverneur a été mise en ligne sur le site de l'Assemblée nationale.
CONSIDÉRANT QUE plus de 85 % de la population du Québec s'oppose à la monarchie;
CONSIDÉRANT QUE la fonction de lieutenant-gouverneur symbolise un pouvoir colonial, archaïque et désuet;
CONSIDÉRANT QUE le lieutenant-gouverneur détient des pouvoirs de désaveu et de renvoi, contraires aux valeurs d'une société démocratique;
CONSIDÉRANT QUE le lieutenant-gouverneur a déjà, dans l'histoire du Québec, exercé ces pouvoirs ou envisagé de les exercer;
CONSIDÉRANT QU'il en coûte plus de 1 million de dollars par année aux Québécois et Québécoises pour financer cette fonction;
CONSIDÉRANT QUE cet argent pourrait être investi ailleurs dans les missions essentielles à l'État québécois;
Les soussignés demandent à l'Assemblée nationale de prendre, aussitôt que possible, les mesures visant à abolir le poste de lieutenant-gouverneur.
Nous vous invitons d'ici le 15 mai 2013 à signer la pétition et à la faire connaître à tout votre réseau d'ami.

Lien pour signer la pétition

Pour signer la pétition demandant l'abolition du poste de lieutenant-gouverneur cliquez sur le lien suivant : https://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-3575/index.html
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André Lepage
lepageandre@videotron.ca
andrelepage101@gmail.com
http://www.facebook.com/andrelepage101
http://savoir101.blogstop.com

25 avril 2013

Pas facile d'être en santé...

  
Catégorie : BLAGUE
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Pas facile d'être en santé....
Même les retraités n'y arrivent pas...alors...
 

On dit que ...
- À tous les jours, il faut manger:
  une pomme pour le fer,
  une banane pour le potassium,
  une orange pour la vitamine "C",
  un demi melonpour la digestion
  avec une tasse de thé vert, sans sucre,
  pour prévenir le diabète...
 
- À tous les jours ..
  Boire deux litres d'eau (sans oublier qu'il faut les pisser,
  ce qui prend 2 fois plus de temps que pour les boire...)
 
- À tous les jours ..
Prendre un Activia, ou un Yaourt pour assimiler
la 'L. Cassei Defensis', (malgré que personne ne sait de  quelle merde il s'agit, mais parait-il que si on n'en  prend pas un casseau par jour,  on va commencer à voir                                    les personnes embrouillées).
 - À chaque jour ..
Son aspirine pour prévenir les infarctus,
un verre de vin rouge pour la même raison,
un verre de vin blanc, pour le système nerveux,
une bière , mais je ne me rappelle plus pourquoi.
Si tu les prends tous ensemble, tu vas probablement être étourdi, mais ne te préoccupe pas, il y a de fortes chances que tu ne t'en aperçoives même pas. 
 - À tous les jours ..
Il faut manger des fibres . Beaucoup, beaucoup de fibres,
jusqu'à ce que tu finisses par chier un chandail.
Il faut manger entre 4 et 6 repas , mais légers et ce,
sans oublier de mastiquer cent fois chaque bouchée.
Si on fait un petit calcul... juste pour manger et boire tu viens
de perdre 5 heures de ta journée.
 
Ah, j'oubliais... après chaque repas il faut se brosser
les dents, à moins que ce ne soit après
l'activia et la fibre..... les dents après la pomme,
les dents après la banane, les dents et ainsi de suite,
tant qu'il te restera des dents ..
Mais toujours sans oublier de se passer la soie dentaire,
de se masser les gencives et de se rincer la bouche au Scope.
 
Finalement, c'est préférable d'installer
ta chaîne stéréo dans la salle de bain parce qu'avec l'eau,
la fibre et les dents, tu devras y passer une couple d'heures chaque jour.
 
Il faut dormir 8 heures et travailler
8 autres heures par jour, plus les 5 que tu utilises pour manger, ça fait 21 heures.
Il t'en reste donc 3, sans compter les imprévus.
Selon les statistiques, on regarde trois heures de télévision par jour. Mais tu ne peux pas parce que c'est primordial de marcher au moins une demi-heure par jour
(Un conseil : après 15 minutes, vire de bord...
parce que sinon la demi-heure va se changer en une heure).
 C'est important de cultiver tes amitiésqui sont comme des plantes, que tu dois arroser tous les jours, même en vacances. De plus on doit être bien informés, donc il faut lire au moins deux journaux quotidiens et certains articles de revues pour faire la part des choses. 
Ah: Il faut aussi avoir du sexe tous les jours, mais sans tomber dans la routine: il faut être innovateur,
créatif, renouveler la séduction.
 
Après tout cela, il faut trouver du temps pour faire
le ménage , laver le linge et faire la vaisselle - compte-toi chanceux si tu n'as pas d'animal domestique à t'occuper...

 

Ouf... Enfin... jusqu'ici j'ai compté 29 heures par jour.
La seule façon que je vois pour y arriver est de faire certaines de ces choses en même temps.
Par exemple: Prendre ta douche à l'eau froide en gardant la bouche ouverte jusqu'à ce que tu aies calé tes deux litres d'eau.
 
Pendant que tu sors de la salle de bain,
avec la brosse à dents dans la bouche,
tu en profites pour faire l'amour avec ton chum tout en jetant un coup d'oeil à la Télé , pendant que tu balaies .
 
Il te reste une main de libre?
Appelle un ami ou tes parents.
Prends le vin (après avoir parlé à tes parents, sinon ils vont te croire alcoolique).
 
Demande à ton chum de te donner le Yaourt avec la pomme pendant qu'il mange la banane avec l'activia.
Demain, faites l'inverse pour varier.
 
Heureusement qu'on est adulte, sinon il nous faudrait aussi nous taper un Danonino Extra Calcium tous les jours.
 Ouf! S'il te reste deux minutes après tout cela, renvoie ce message à tes amis (tu te souviens: ceux que tu dois arroser comme des plantes) en même temps que tu prendras une cuillerée de
All-Bran, qui fait tant de bien...
 Maintenant je dois te laisser parce que, entre le yaourt, le demi-melon, la bière, le premier litre d'eau et le troisième repas avec fibre de la journée, je ne sais plus trop bien ce que je fais, mais je réalise que j'ai un urgent besoin d'aller à la toilette. Pis j'en profiterai pour apporter ma brosse à dents....
 
Si je t'ai déjà envoyé ce message,
eh bien excuse-moi...c'est l'Alzheimer qui,
malgré tant de précautions, me guette de près.
 

...Je pense quand même qu'on se fait mourir à vouloir être en santé.
 
Bonne journée, là !
Désolé je n'ai plus de temps!