7 mars 2011

Vos paupières sont lourdes... très lourdes

Charest, Bouchard, Legault, Talisman

Il y a de ces alignements de planètes qui ne mentent pas. Prenez l'arrivée de Lucien Bouchard à la tête du lobby de l'industrie du gaz de schiste.
Le 21 février, il devient président de l'Association pétrolière et gazière du Québec (APGQ). Le 23, Jean Charest livre son discours inaugural et parle d'imposer des redevances "justes" à cette industrie.

Puis, le 28, le gouvernement reçoit le rapport du BAPE sur le gaz de schiste et a jusqu'à 60 jours pour le rendre public.

Entre-temps, M. Bouchard prend la relève côté communications. Le 24, soit dès le lendemain du discours inaugural, M. Bouchard débute sa tournée des médias avec une longue entrevue accordée à Anne-Marie Dussault sur RDI.

Ses "lignes" sont "scriptées" d'avance. Elles ressemblent même étrangement à celles de M. Charest. Tout ça sent la concertation.

Pas surprenant que l'ex-ministre libéral Benoît Pelletier avait déjà noté dans La Presse que le gouvernement n'était "probablement pas étranger" à la nomination de M. Bouchard...

C'est en fait la compagnie albertaine Talisman Energy Inc. qui a recruté M. Bouchard pour diriger l'APGQ et elle encore qui payera ses honoraires. Ce n'est tout de même pas rien lorsqu'une compagnie albertaine s'offre les services d'un ancien premier ministre du Québec.

Mais du moment où un ex-chef de cabinet de M. Charest est aussi déjà chez Talisman et où un ex-chef de cabinet d'un de ses ministres est à l'APGQ, ça commence à faire un tricot pas mal serré.

Or, Talisman a beau tenir la main qui le nourrit, M. Bouchard multiplie les bulles papales et joue le grand conciliateur. Pour calmer les ouailles inquiètes, il leur sert un brin d'acceptabilité sociale par-ci et une pincée de redevances plus élevées par-là.

Sans rire, il déclare à RDI que l'industrie du gaz de schiste devra apprendre à "subordonner ses intérêts à l'intérêt public"!

Vous en connaissez beaucoup, vous, des industries capables de "subordonner" leurs propres intérêts financiers au bien commun?

Il tente pourtant de vous en convaincre. Vous regardant droit dans les yeux, il vous assure de son dévouement absolu aux intérêts "supérieurs" de la NATION. Oui, oui. En lettres majuscules.

Bref, vous assistez à un formidable spectacle d'hypnose politique. Vos paupières sont lourdes... très lourdes.

Mais oups. Petit problème. Une majorité de Québécois ne sont pas de très bons "sujets" à l'hypnose collective.

À preuve: de plus en plus de regroupements de citoyens, d'artistes et de scientifiques se mobilisent pour demander un moratoire sur l'exploration du gaz de schiste. Question d'en étudier les impacts sur la sécurité des populations, de la faune, de l'eau et de la nappe phréatique.

Ces mêmes enjeux de fond sont d'ailleurs soulevés partout dans le monde où s'installe cette industrie aussi pressée que controversée.

Des "locataires" en colère

Le New York Times révélait tout récemment qu'aux États-Unis, il y avait danger de contamination de l'eau dû à des niveaux élevés de radioactivité s'échappant de plusieurs puits suite à la fracturation de la roche contenant du gaz de schiste (1).

Ici, selon M. Charest, M. Bouchard - et même François Legault -, demander un moratoire serait une réaction essentiellement "émotive". Un tel geste pourrait même faire peur à l'entreprise privée au grand complet! C'est vraiment, vraiment n'importe quoi.

Pour hypnotiser les Québécois, ils brandissent aussi le pendule de l'"enrichissement collectif". Si on augmente les redevances payées à l'État par l'industrie, disent-ils, ça aiderait à préserver les programmes sociaux. Eh oui, les mêmes qui furent passés à la tronçonneuse par M. Bouchard lorsqu'il était premier ministre...

Pourtant, tout ce beau monde rejette les solutions les plus profitables pour les coffres publics. Des solutions qui, dans la mesure où le besoin de nouvelles sources d'énergie serait démontré, assureraient aussi que l'exploration et l'exploitation de ressources non renouvelables ne se feraient qui si elles étaient sécuritaires pour la santé publique.

Que ce soit une nationalisation de type "Hydro-Québec" ou la création de partenariats avec le privé où l'État serait l'actionnaire principal, les modèles ne manquent pas.

Or, se contenter de redevances plus élevées tout en laissant l'industrie décider de la pertinence de l'exploitation, c'est lâcher la proie pour l'ombre.

Et c'est ici qu'on voit poindre le vrai "risque" pour le Québec. Soit celui qu'à long terme, avec ou sans un meilleur "encadrement" de l'industrie ou même avec une "pause" dans le gaz de schiste - si jamais le BAPE allait jusque-là -, ce sera bel et bien aux intérêts privés que l'intérêt public demeurera subordonné.

Bref, hormis l'hydroélectricité - heureusement déjà nationalisée (!) -, on s'entête à traiter les Québécois comme s'ils étaient les "locataires" de leur propre bassin exceptionnel de ressources naturelles.

Mais il arrive aussi que des locataires se tannent de l'être.

En France, c'est par dizaines de milliers que des citoyens manifestent pacifiquement contre les ardeurs de l'industrie du gaz de schiste.

Et ici? Tout dépendra du "capital d'indignation" des citoyens (2).

Josée Legault  
2 mars 2011

Sources :
----- Message d'origine -----
De : Daniel Breton
À : SynapseEnergie_groupesyahoo.ca
Cc : veille_listes.mcn21.org ; Lise Thibault ; Jean-Marc Pelletier
Envoyé : 7 mars 2011 09:17
Objet : [SynapseEnergie] Josée Legault: Vos paupières sont lourdes...

6 mars 2011

Un gouvernement péquiste exclurait désormais l'anglais du cours primaire

Vers un nouveau rapport à la langue
Le Parti québécois a mis du temps à réagir à la proposition, qui — comme tout ou presque chez Jean Charest — comportait un élément tactique impor­tant.
La formation de Pauline Marois s'apprête à marquer un grand coup en lien avec le débat des langues à son congrès d'avril: elle entérinera la pro­position controversée d'appliquer la loi 101 au cégep.
Mais comme pour se faire excuser, le PQ compte proposer des mesures pour améliorer l'enseignement de l'anglais aux paliers inférieurs.
Cette semaine, le critique en matière de langue Pierre Curzi révé­lait la position du PQ, qui rejette finalement la pro­position du premier ministre.
Un gouvernement péquiste exclurait désormais l'anglais du cours primaire.
Il rapatrierait les quelque 800 heures d'enseignement de l'anglais du primaire et du se­condaire dans les trois premières années du se­condaire.
Le primaire serait désormais consacré à l'apprentissage de la langue nationale, le français. « Ce qu'on ne dit plus et ce qu'on devrait redire, a noté Pierre Curzi au détour d'une phrase, c'est que ce qui est prioritaire au Québec, c'est une très solide maîtrise du français. »
Antoine Robitaille
Le Devoir
Source :
----- Message d'origine -----
De : herouxgg
Envoyé : 6 mars 2011 10:25
Objet : Un gouvernement péquiste exclurait désormais l'anglais du cours primaire.

GAZ DE SCHISTE "STOP GAZ DE SCHISTE" (SOUS-TITRES FR)

Gaz de schiste...  Incroyable

Voici un vidéo qui circule présentement sur le gaz de schiste.

M. Bouchard va difficilement convaincre la population que ce procédé est sécuritaire.

SI VOUS CONNAISSEZ DES JOURNALISTES, PERSONNES INFLUENTES DANS LES MÉDIAS, POLITIQUES OU AUTRES, FAITES CIRCULER.

S.V.P., prenez le temps d'écouter ce reportage.

Et, ensuite, faites circuler...


5 mars 2011

Le seul parti pour un Québec français – Le P.I.



POUR UN QUÉBEC FORT !

Le seul parti pour un
Québec français
mur à mur
L'unanimité des partis représentés à l'Assemblée nationale pour la diglossie est franchement navrante. Libéraux, péquistes, adéquistes et solidaires sont tous favorables à l'apprentissage intensif de l'anglais et au bilinguisme de tous les jeunes Québécois. Le Parti indépendantiste est le seul parti qui prône clairement un Québec français mur à mur.

Dans son discours inaugural, le premier ministre libéral Jean Charest se donnait cinq ans pour mettre sur pied des programmes d'anglais intensifs en 6e année à la grandeur du Québec. Selon cette formule, la moitié de la 6e année sera consacrée uniquement à l'apprentissage de l'anglais. En novembre dernier, les libéraux adoptaient également en conseil général une proposition pour que le gouvernement mette en place un projet-pilote de programme collégial bilingue où les cours seraient offerts en français et en anglais.

En point de presse pour réagir au discours inaugural, la chef péquiste Pauline Marois affirmait sur l'apprentissage intensif de l'anglais en 6e année : « Ce n'est pas une mauvaise idée. Nous avons la même ». La semaine dernière, son porte-parole en matière de langue, Pierre Curzi, écrivait dans La Presse que si le PQ s'était engagé à « étendre l'application de la Charte de la langue française au collégial, celle-ci devra s'accompagner d'un apprentissage intensif de l'anglais pour tous les élèves du Québec ».
De son côté, l'Action démocratique adoptait lors de son dernier congrès une proposition visant à « instaurer le bilinguisme dans l'éducation ». Le 16 février dernier, le chef adéquiste déposait à l'Assemblée nationale une motion appuyée par les libéraux pour défendre la liberté de choisir la langue d'enseignement dans les cégeps.

Les partisans du Québec français n'ont rien à attendre non plus de Québec solidaire. Leur seul représentant à l'Assemblée nationale, Amir Khadir, affirmait au quotidien Le Soleil s'opposer au prolongement de la loi 101 au collégial pour des        raisons de « droits individuels » et favoriser « l'amélioration de la qualité de l'enseignement de l'anglais dans nos réseaux scolaires publics ».

Le Parti indépendantiste reste donc le seul parti pour un Québec français :
« État-Nation français mur à mur : abolition du bilinguisme institutionnel et imposition de l'empire de notre langue nationale sur l'ensemble de notre territoire national et dans toutes les sphères de notre vie nationale (administration et communications de l'État, justice, éducation, santé, travail, affichage, etc.) ; financement public d'un seul réseau d'éducation fonctionnant dans notre langue nationale des CPE à l'université et obligation pour tous de le fréquenter ; francisation des entreprises, peu importe leur taille ; financement public d'un seul CHU français à Montréal ; rétablissement des COFI pour assurer l'intégration des immigrants à notre Nation ; sélection des immigrants en fonction de leur maîtrise du français. »

Jean-Roch Villemaire – Membre du P.I. de la région de Montréal -

3 mars 2011

La maison à double coquille pour climat froid

La maison à double coquille pour climat froid

Mouvement Montérégie français - Conférence du FJBQ-Montérégie sur la question nationale et les médias

Le Forum Jeunesse du Bloc Québécois de la Montérégie
organise une conférence thématique sur
La question nationale et les médias
qui aura lieu le mardi 15 mars 2011 à 19 h
à la salle 3625 de l'Université du Sherbrooke à Longueuil
situé au Métro Longueuil.

Les conférenciers seront :
Robin Philpot, journaliste et auteur de Derrière l'État Desmarais : Power
Carole Lavallée, députée du Bloc Québécois et ex-consultante en communications
Gilbert Paquette, président des IPSO et ex-ministre de la Science et de la Technologie

Entrée gratuite

Vous pouvez consulter l'affiche de cette conférence sur le document ci-joint

Pour informations : Xavier Barsalou Duval (514) 621-3712
----- Message d'origine -----
De : richard
Envoyé : 2 mars 2011 19:12
Objet : Mouvement Montérégie français - Conférence du FJBQ-Montérégie sur la question nationale et les médias

2 mars 2011

Principe de la grenouille chauffée

Olivier Clerc, écrivain et philosophe, a envoyé un petit conte d’une grande richesse d’enseignement.
Il s’agit du principe de la grenouille chauffée : imaginez une marmite remplie d’eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille…
 — Le feu est allumé sous la marmite, l’eau chauffe doucement. Elle est bientôt tiède. La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager.
— La température continue à grimper. L’eau est maintenant chaude.
C’est  un peu plus que n’apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais elle ne s’affole pas pour autant.
— L’eau est cette fois vraiment chaude. La grenouille commence trouver cela désagréable, mais elle s’est affaiblie, alors elle supporte et ne fait  rien.
— La température continue à monter jusqu’au moment où la grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir.
— Si la même grenouille avait été plongée directement dans l’eau à 50 °, elle aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l’aurait éjectée aussitôt de la marmite.
Cette expérience montre que, lorsqu’un changement s’effectue d’une manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte.
 — Si nous regardons ce qui se passe dans notre société depuis quelques décennies, nous subissons une lente dérive à laquelle nous nous habituons. Des tas de choses qui nous auraient horrifiés il y a 20, 30 ou 40 ans ont été peu à peu banalisés, édulcorés, et nous dérangent mollement à ce jour, ou laissent carrément indifférents la plupart des gens.

AU NOM DU PROGRÈS et de la science, les pires atteintes aux libertés individuelles, à la dignité du vivant, à l’intégrité de la nature, à la beauté et au bonheur de vivre, s’effectuent lentement et inexorablement avec la complicité constante des victimes, ignorantes ou démunies.

Les noirs tableaux annoncés pour l’avenir, au lieu de susciter des réactions et des mesures préventives, ne font que préparer psychologiquement le peuple à accepter des conditions de vie décadentes, voire DRAMATIQUES.

Le GAVAGE PERMANENT d’informations de la part des médias sature les cerveaux qui n’arrivent plus à faire la part des  choses…

Lorsque j’ai annoncé ces choses pour la première fois, c’était pour demain...

Là, C’EST POUR AUJOURD’HUI
Alors si vous n’êtes pas, comme la grenouille, déjà à moitié cuits, donnez le coup de patte salutaire avant qu’il ne soit trop tard.
 Merci de diffuser largement

SOMMES-NOUS DÉJÀ À MOITIÉ « CUITS » ?

PRIORITÉ ABSOLUE AU FRANÇAIS !


Alors que l'on s'enfarge à qui mieux mieux pour faire apprendre l'anglais aux Québécois, on semble oublier que l'on ne sait même pas parler, écrire et comprendre le français !!!! La langue étant l'architecture de la pensée, pas surprenant que l'on se fasse systématiquement abuser...
• La moitié des Québécois âgés de 16 ans et plus ont des difficultés de lecture et 800 000 d’entre eux sont analphabètes, donc n’ont pas la capacité de lire une phrase simple. Cela empire : 49 % des Québécois ont de la difficulté à comprendre un paragraphe.

• Le patronat a réussi à faire démanteler par le gouvernement Charest – enthousiaste dans ce recul – la loi qui l’obligeait à consacrer 1 % de sa masse salariale à la formation de son personnel.

• Parmi les jeunes de 16 à 25 ans qui n’ont pas terminé leurs études secondaires, 70 % n’ont pas un niveau satisfaisant de compréhension de lecture pour pouvoir participer pleinement à la société, lire les modes d’emploi, les notices au travail, apprendre ensuite d’eux-mêmes. C’est aussi vrai pour 33 % de ceux qui ont un diplôme d’études secondaires et – je suis contrit de le souligner – 20 % de ceux qui ont un diplôme d’études collégiales ou universitaires !

• Le Québec compte davantage d'analphabètes que les provinces anglophones. « Les francophones ont un degré de "littératie" — compétence à la lecture et à l'écriture — nettement inférieur à ceux des anglophones »

• L'EIAA corrobore l'écart entre les deux groupes linguistiques. Selon l'enquête, 13 % des anglophones canadiens sont classés au niveau 1 sur l'échelle des textes suivis, comparativement à 25 % pour les francophones.

Aboutissant...

LES “GNOCHONS” DE QUÉBÉCOIS !
Une trop longue procession de bien pensants, lucides et vire-capots s’en donnent à cœur joie sur le dos du dernier village gaulois en Amérique…
• Première étape : Démoraliser la nation inféodée
• Deuxième étape : Discréditer l’autorité de la nation inféodée
• Troisième étape : Neutraliser la nation inféodée

L’opération, rondement menée via notre traîtresse médiocratie est constante et pernicieuse. On ne fait pas dans la dentelle. L’important est de remettre à sa place la tranche de quelque 60 % de francophones qui a déjà démontré sa forte tendance souverainiste. C’est comme si on cherchait à démontrer que les Québécois seraient incapables de se donner un pays viable tellement ils sont concombres et irresponsables.

Ajoutez d’occasionnels racistes, bornés, ignorants, inconscients et ‘n’en jetez plus la cour est pleine’ pour avoir le portrait d’une supposée nation indigne, arriérée qui finalement devrait se compter heureuse de pouvoir s’assimiler dans le tout grand multiculturel canuck

La mécanique de l’assimilation telle que pratiquée depuis Lord Durham s’applique encore et toujours. Immuablement ! Les outils ont évolué, ils sont moult fois plus efficaces et omniprésents, mais le plan demeure intact.

On appelle cela un génocide culturel ou ethnocide !

Depuis 1763, nous n’avons plus d’Histoire, sinon celle, par réfraction, que nos conquérants veulent bien nous laisser vivre, pour nous calmer. Cette tâche leur est d’autant plus facile que nous secrétons nos propres bourreaux. - Léon Dion

Diplo Tocus

PRIORITÉ ABSOLUE AU FRANÇAIS !

La moitié des Québécois âgés de 16 ans et plus ont des difficultés de lecture et 800 000 d’entre eux sont analphabètes, donc n’ont pas la capacité de lire une phrase simple. Cela empire : 49% des Québécois ont de la difficulté à comprendre un paragraphe.

Le patronat a réussi à faire démanteler par le gouvernement Charest – enthousiaste dans ce recul – la loi qui l’obligeait à consacrer 1% de sa masse salariale à la formation de son personnel.

Parmi les jeunes de 16 à 25 ans qui n’ont pas terminé leurs études secondaires, 70% n’ont pas un niveau satisfaisant de compréhension de lecture pour pouvoir participer pleinement à la société, lire les modes d’emploi, les notices au travail, apprendre ensuite d’eux-mêmes. C’est aussi vrai pour 33% de ceux qui ont un diplôme d’études secondaires et – je suis contrit de le souligner – 20% de ceux qui ont un diplôme d’études collégiales ou universitaires !

Le Québec compte davantage d'analphabètes que les provinces anglophones. «Les francophones ont un degré de "littératie" — compétence à la lecture et à l'écriture — nettement inférieur à ceux des anglophones»

L'EIAA corrobore l'écart entre les deux groupes linguistiques. Selon l'enquête, 13 % des anglophones canadiens sont classés au niveau 1 sur l'échelle des textes suivis, comparativement à 25 % pour les francophones.

Aboutissant...

LES “GNOCHONS” DE QUÉBÉCOIS !
Une trop longue procession de bien pensants, lucides et vire-capots s’en donnent à cœur joie sur le dos du dernier village gaulois en Amérique…
Première étape : Démoraliser la nation inféodée
Deuxième étape : Discréditer l’autorité de la nation inféodée
Troisième étape : Neutraliser la nation inféodée

L’opération, rondement menée via notre traîtresse médiocratie est constante et pernicieuse. On ne fait pas dans la dentelle. L’important est de remettre à sa place la tranche de quelque 60% de francophones qui a déjà démontré sa forte tendance souverainiste. C’est comme si on cherchait à démontrer que les Québécois seraient incapables de se donner un pays viable tellement ils sont concombres et irresponsables.

Ajoutez d’occasionnels racistes, bornés, ignorants, inconscients et ‘n’en jetez plus la cour est pleine’ pour avoir le portrait d’une supposée nation indigne, arriérée qui finalement devrait se compter heureuse de pouvoir s’assimiler dans le tout grand multi-culturel canuck

La mécanique de l’assimilation telle que pratiquée depuis Lord Durham s’applique encore et toujours. Immuablement ! Les outils ont évolué, ils sont moult fois plus efficaces et omniprésents, mais le plan demeure intact.

On appelle cela un génocide culturel ou ethnocide !

Depuis 1763, nous n’avons plus d’Histoire, sinon celle, par réfraction, que nos conquérants veulent bien nous laisser vivre, pour nous calmer. Cette tâche leur est d’autant plus facile que nous secrétons nos propres bourreaux. - Léon Dion

On va faire des Québécois des sous-hommes !

Onil Perrier


Disons-le tout net : si le gouvernement Charest met en marche le processus d’enseigner tout en anglais pendant six mois en 6e année, il  va commencer à fabriquer des sous-hommes avec nos jeunes Québécois !

On a trop vu de jeunes francophones des groupes minoritaires hors du  Québec : obligés d’apprendre la moitié des matières dans une autre langue que la leur, ils en arrivent à ne pas vraiment apprendre LEUR  langue… Ils n’en ont plus le goût !  Leur culture fout le camp.

Ils n’achètent pas de livres ou de journaux français; ils n’écoutent que les programmes anglais… Et ils se parlent bien plus entre eux dans l’autre langue, ça fait tellement chic !  Culturellement, ils sont assimilés à l’autre !  Ils ne sont plus des vrais francophones, ni  encore des vrais anglophones.  Des sous-hommes au plan culturel.

Mais même s’ils réussissent à bien apprendre l’anglais,  les employeurs, anglophones pour la plupart, les attendant dans le  détour : pas de bons emplois pour les frenchies ! Ils deviennent des  sous-hommes là aussi.

Veut-on défavoriser nos jeunes à ce point ?

Venons-en au fond des choses. Il n’est pas vrai que tous les humains peuvent apprendre deux langues parfaitement.  Seuls 10 à 20 % peuvent le faire sans nuire à leur culture.  Les autres n’apprennent bien ni leur propre langue ni l’autre langue imposée.  C’est du temps et de 
l’argent perdus.

Tout le monde le dit : de nos jours encore, après 150 ans d’instruction publique,  35 % des gens sont analphabètes au point de ne pouvoir se débrouiller… et 30 % des élèves décrochent au secondaire…

D’où vient cette folie de vouloir imposer une deuxième langue alors qu’on n’apprend pas bien la première ?    L’anglais au Québec n’est requis que pour 15 à 20 % des gens.  Et si la loi 101 était appliquée,  ce serait encore moins.

Soyons donc fiers de ce que nous sommes : un peuple qui a réalisé et  qui réalise encore de grandes choses dans SA langue et grâce à SA  langue !
Onil Perrier      
Franco-ontarien de naissance

Fossoyeurs du français

Fossoyeurs du français





Pierre Allard
Le Droit

On s'attend du gouvernement du Québec qu'il soit le défenseur du français, pas son fossoyeur. Alors que la langue française - déjà moribonde dans plusieurs coins du pays, assiégée dans les régions limitrophes du Québec, y compris l'Est ontarien et l'Acadie, menacée à l'intérieur même du Québec, notamment à Montréal et en Outaouais - aurait désespérément besoin du plus vigoureux des soutiens, voilà que l'équipe de Jean Charest promet de transformer les écoles françaises en écoles bilingues en 6e année !

C'est à croire que les dirigeants actuels du Québec ignorent tout de l'histoire du Canada et de l'expérience vécue par les francophones dans les provinces à majorité anglophones. Il a été démontré, hors de tout doute, que les écoles bilingues y étaient des instruments d'anglicisation. On les a remplacées depuis plus de 40 ans par des réseaux d'écoles de langue française et une mesure comme celle que propose actuellement le gouvernement québécois pour la 6e année soulèverait en Ontario français un tollé de protestations.

Bien sûr, l'apprentissage d'un anglais de qualité est souhaitable pour ceux qui le veulent et qui en ont besoin. Le contexte nord-américain l'impose. Mais il est faux de prétendre, dans une société qui se proclame française, que tous les jeunes Québécois doivent devenir bilingues. Pas au Saguenay. Pas en Beauce. Même pas à Montréal. Ni à Gatineau, où pas moins de 75 000 personnes sont unilingues françaises.

Le bilinguisme individuel reste et restera toujours un enrichissement. Le bilinguisme collectif, par contre, est synonyme d'assimilation. Là encore, l'expérience des minorités canadiennes-françaises est probante. Quand une génération entière de Québécois sera bilingue, les suivantes parleront de moins en moins le français. Déjà, le français parlé et écrit au Québec se détériore. Écoutez les jeunes. Le vocabulaire est appauvri et les conversations sont émaillées de mots et d'expressions anglais. Et l'on propose de retirer aux enfants de 6e année près de la moitié d'une année d'enseignement en français !

Le gouvernement lance un message insidieux en donnant à l'anglais un statut égal au français à la dernière année du primaire. Au lieu de faire la promotion d'un français de qualité qui impose le respect, sans pour autant négliger l'anglais et d'autres langues, il semble avoir baissé les bras. La langue de chez nous décline, s'incline, et sans l'avouer, Québec en prend acte. C'est décourageant de la part du seul gouvernement d'une majorité de langue française en Amérique du Nord.

Il faut souhaiter qu'on donne la réplique, et vite. Les réactions ont été trop tièdes, même du côté du Parti québécois. Le monde scolaire doit se faire entendre. Tous ces enseignants qui côtoient nos jeunes à tous les jours doivent donner l'heure juste au gouvernement. Les députés libéraux de la région doivent être appelés à justifier ce début de bilinguisation des écoles françaises. La population doit s'informer et s'impliquer. Cette question intéresse d'ailleurs tous les francophones du pays, et il faut souhaiter que les organisations canadiennes-françaises hors Québec mettent leur grain de poivre dans ce débat.

L'avenir du français alimente les discussions depuis des centaines d'années. Cela va au coeur de notre identité comme peuple, comme nation. Au fil de l'histoire, certains moments de crise ont eu des échos dans l'ensemble de la francophonie canadienne : abolition des écoles françaises au Manitoba, Règlement 17 en Ontario, la défense de l'hôpital Montfort, et que dire de la succession de lois linguistiques au Québec (Bill 63, Loi 22, Loi 101). Le débat qui débute sur les classes bilingues au Québec pourrait à son tour devenir un jalon important de notre gestation identitaire.

Pour le moment, l'important, c'est de faire savoir au gouvernement québécois que son projet est mal avisé et qu'il doit le retirer. Vivement, une levée de boucliers !

La monarchie est-elle source de corruption politique dans notre gouvernement ?

Jocelyn Nadeau 


M. André, avez-vous écouté à l'émission Bazzo.tv l'éditorialiste M. Denis Saint-Martin concernant la monarchie et la visite du prince William.
Super intéressant ses... explications !
http://video.telequebec.tv/video/6806/la-monarchie-est-elle-source-de-corruption
Merci Jocelyn pour ce lien, il est très important de dire à la population d'où viennent les pouvoirs des premiers ministres du Québec et celui du Canada.  Un pourvoir trop important dans une démocratie moderne. J'ai habitude de dire que : les pouvoirs du Québec ou celui du Canada sont plus importants que les pouvoirs du président des États-Unis »

1 mars 2011

QUÉBEC, UN GOUVERNEMENT ANGLOMANE !



Impératif français
  article




QUÉBEC, UN GOUVERNEMENT ANGLOMANE !

Le gouvernement du Québec s'écrase, abdique sa responsabilité de promouvoir l'identité nationale québécoise par la défense et par la promotion de sa principale valeur, la langue française.
Impératif français s'inscrit en faux contre la vision et le projet du gouvernement du Québec d'anglicisation graduelle et systématique du réseau scolaire québécois - et demain, de l'ensemble du Québec.
Après l'enseignement de l'anglais à partir de la première année du primaire et le retour en force des écoles passerelles, c'est maintenant la défrancisation de 50 % du régime pédagogique de 6e année ! Jusqu'où nous conduira le délire anglomane du gouvernement du Québec ?
Alors qu'au Canada anglais le français recule et que l'enseignement du français y est réduit à une peau de chagrin,  au Québec notre gouvernement s'écrase et met la table non pas pour stopper les forces d'anglicisation, mais au contraire pour les multiplier !
Il faut que tout ceci cesse et cela urge !
Adresses utiles :
Christine St-Pierre
Madame Line Beauchamp
Ministre de l'Éducation, du loisir et du sport
line.beauchamp@mels.gouv.qc.ca
Line Beauchamp
Madame Christine St-Pierre
Ministre responsable de la Charte de la langue française
ministre@mcccf.gouv.qc.ca
Source :
Jean-Paul Perreault
Président
Impératif français
www.imperatif-francais.org
Tél. : 819 684-8460 ou 613 282-7119


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Après le Moteur-Roue électrique, Hydro-Québec aurait cédé un autre trésor - Le Devoir.com : Anticosti: Les droits de prospection pétrolière vendus au privé pourraient représenter des milliards de dollars


Anticosti: Hydro-Québec aurait cédé un trésor
Les droits de prospection pétrolière vendus au privé pourraient représenter des milliards de dollars


Le sous-sol d'Anticosti pourrait bien contenir «le potentiel pétrolier terrestre le plus élevé au Québec», selon ce que conclut le président de Pétrolia à la lumière des résultats des derniers travaux d'exploration réalisés par l'entreprise l'été dernier. C'est Hydro-Québec, qui avait elle-même commencé à explorer l'île, qui lui a cédé ses permis il y a à peine trois ans. Mais la Société d'État refuse aujourd'hui de dire ce qu'elle a obtenu en échange de droits qui pourraient valoir des milliards de dollars.        

Par l'entremise de documents obtenus en vertu de la Loi d'accès à l'information, Le Devoir a appris qu'Hydro-Québec avait investi 9,8 millions de dollars en travaux d'exploration pétrolière entre 2002 et 2007. Aucun montant n'a été investi par la suite. Plusieurs rapports commandés par la Société d'État au sujet du potentiel en hydrocarbures de la plus grosse île de la province sont aussi disponibles en ligne, documents dont la copie imprimable est payante.           

Mais au début de 2008, elle a cédé ses droits sur 35 permis (6381 km2) qu'elle détenait à l'entreprise Pétrolia. Cette dernière est ainsi devenue le partenaire de Corridor Resources — entreprise qui exploitera le gisement pétrolier extracôtier d'Old
Harry
— pour l'exploration sur Anticosti.         

En contrepartie, la Société d'État doit recevoir une «redevance prioritaire» sur la production pétrolière, si production il y a. Hydro a toutefois refusé de préciser la teneur de celle-ci ou les modalités de versement. Bref, il n'a pas été possible de savoir ce qu'elle a obtenu en échange des milliers de kilomètres carrés de permis qu'elle a cédés au secteur privé, et ce, malgré les demandes formulées en vertu de la Loi d'accès à l'information. On a d'abord répondu que «les documents qu'Hydro-Québec détenait en relation avec l'exploration gazière et pétrolière ont été transférés au ministère des Ressources naturelles et de la Faune». Il faut dire qu'Hydro a fermé sa division pétrole et gaz. Mais du côté du ministère, on a d'abord dit ne pas détenir le document demandé. Une deuxième demande de précision est restée lettre morte.

Hydro-Québec a toutefois fait parvenir une nouvelle réponse au Devoir. Cette fois, la Société d'État a soutenu que «les documents portant sur les ententes et contrats en matière d'exploration pétrolière et gazière sur l'île d'Anticosti sont de nature confidentielle et ne peuvent vous être remis». La Loi d'accès à l'information prévoit en effet certaines exceptions qui permettent de ne pas dévoiler des informations liées à une «redevance», à un «secret industriel» ou impliquant un «tiers», dans ce cas-ci des entreprises privées.          

Question d'orientations         

Le Devoir a déjà demandé à Hydro pourquoi elle s'était départie des permis qu'elle possédait sur l'île d'Anticosti. Une porte-parole avait alors répondu qu'il s'agissait de se concentrer sur les énergies renouvelables. «C'est une question d'orientations qui provient du Plan stratégique 2006-2010. Hydro-Québec souhaitait favoriser l'utilisation et la production d'énergies renouvelables et a choisi de concentrer ses efforts sur le développement complémentaire de l'hydroélectricité et de l'éolien», avait indiqué l'attachée de presse de la Société d'État par courriel.       

Pétrolia, qui n'a pas précisé la teneur de l'entente avec Hydro, a par ailleurs recruté deux anciens d'Hydro-Québec Pétrole et gaz. Il s'agit d'abord d'Erik Adam, qui siège au conseil d'administration de l'entreprise. De septembre 2003 à février 2006, M. Adam «a agi comme géophysicien pour Hydro-Québec Pétrole et gaz», selon ce qu'on peut lire sur le site Web de Pétrolia.        

Jusqu'en 2010, Bernard Granger y était chef géologue, et ce, depuis 2006. Avant de se joindre à l'équipe de Pétrolia, M. Granger était chef géologue d'Hydro-Québec Pétrole et gaz. Il a travaillé vingt ans à la Société québécoise d'initiatives pétrolières, où il a occupé les postes de chef géologue, selon ce qu'on pouvait lire sur le site Internet de l'entreprise il y a encore quelques mois. Son nom a depuis disparu du site.    

Le siège social de Pétrolia se trouve à Rimouski, mais son principal actionnaire est Pilatus Energy AG, une compagnie qui a pignon sur rue en Suisse.

Potentiel pétrolier        

En cas de découvertes importantes, les profits qui pourraient être tirés de l'exploitation de cet or noir iraient donc au secteur privé plutôt qu'au Trésor public. Et l'île d'Anticosti pourrait bien receler de grandes quantités d'or noir, selon ce qu'a affirmé le président de Pétrolia, André Proulx, à la lumière des premières analyses des travaux d'exploration menés au cours de l'été 2010 et publiés mercredi dernier.   

La plus grande île de la province se situe en effet à l'extrémité nord-est d'une plate-forme qui compte plusieurs champs d'hydrocarbures mondialement reconnus. L'autre entreprise très présente sur Anticosti, Corridor Resources, a elle aussi fait savoir la semaine dernière que l'île d'Anticosti pourrait contenir d'importantes réserves pétrolières. D'autres travaux seront nécessaires pour déterminer s'il peut être extrait de façon rentable.

«Les résultats sont très positifs. Le dossier n'est pas complet, mais les résultats qu'on voit sont très positifs, a répété M. Proulx, en entrevue au Devoir. On est très satisfaits des résultats qu'on a atteints jusqu'à présent.» S'il se dit heureux de l'avancement des travaux en vue d'en arriver à préciser si le pétrole pourrait être exploité sur une base commerciale, le président de Pétrolia ne s'en étonne qu'à moitié. «On a toujours prétendu que c'est la zone avec le potentiel pétrolier terrestre le plus élevé au Québec», a-t-il laissé tomber.         

S'il est pour le moment impossible d'évaluer le potentiel réel, il pourrait s'agir de milliards de barils d'or noir. «Shell a déjà dit que l'île pouvait contenir 30 milliards de barils. Ces barils sont quelque part. On ne peut pas croire qu'ils sont tous disparus. Mais ça ne veut pas dire qu'ils sont tous restés là», a déjà dit M. Proulx.        

«Ces résultats constituent des indices positifs quant à la ressource pétrolière en place, particulièrement au niveau des shales de Macasty», précise le communiqué diffusé par l'entreprise de Rimouski. La formation rocheuse de Macasty, qui couvre la majeure partie du territoire d'Anticosti, contiendrait d'importantes réserves de pétrole de shale (aussi appelé pétrole de schiste). Ce pétrole non conventionnel intéresse de plus en plus les pétrolières à travers le monde. «C'est à peu près ce qu'il y a de plus intéressant dans le monde actuellement sur la terre ferme, en terme de capacité de production et de rendement financier», a insisté M. Proulx.

Un avis partagé par le président de l'Institut canadien des mines, de la métallurgie et du pétrole, Chris Twigge-Molecey. «Le pétrole de shale a un grand potentiel. Il est difficile à extraire, mais il pourrait représenter une bonne partie du pétrole du futur. Et avec un baril de pétrole qui dépassera bientôt les 100 $, ça devient très intéressant», a-t-il déclaré vendredi à Montréal.         

Afin de pousser plus avant les travaux d'exploration, il faudra investir des sommes importantes. Des représentants de Pétrolia doivent d'ailleurs se rendre sous peu à Houston afin de présenter les résultats obtenus jusqu'à présent. Sur le fait de trouver des partenaires, M. Proulx se dit «très confiant». «C'est assez évident quand vous avez un dossier comme celui-là. On évalue actuellement comment on va financer la poursuite de nos travaux. Il y a deux façons de le faire: avec des partenaires techniques et financiers, ou alors avec des partenaires uniquement financiers.»

De nouveaux travaux d'exploration pourraient être menés dès l'été prochain, selon ce qu'a précisé le président de Pétrolia.

Le Comité pour l'annulation de la dette du Tiers monde : «Un pays peut refuser de payer sa dette, l'Équateur, l'Argentine et le Paraguay ont refusé de payer leurs dettes à la Banque mondiale, au Fmi, au Club de Paris et aux banquiers.»

Monsieur Lépine,

D'entrée de jeux, j'aimerais vous féliciter pour votre série Krach: la crise réalisée sur l'effondrement financier de 2008.

À titre de chercheur indépendant j'ai suivi cette affaire de politiques monétaires assassines depuis de nombreuses années. Cela m'a amené jusqu'aux audiences publiques (et secrètes) du Congrès américain et du Sénat sur l'enquête concernant la disparition de neuf milles milliards (9 000) de dollars US à la Réserve Fédérale ainsi que sur sa politique monétaire occulte qui a obligée le Congrès, à voter de force, la loi martiale en octobre 2008 sur tout le territoire américain.

Cela fut décrié publiquement par plusieurs députés et sénateurs exigeant publiquement depuis des années l'abolition de cette institution entièrement privée appartenant à l'origine de sa création, aux familles Rockefeller, Rothschild, J-P Morgan et Warburg.

Aucun grand média n'a parlé de cette affaire gigantesque.

Aucun quotidien ou grand média digne de la confiance du public n'a osé enquêter très sérieusement sur le sujet de l'effondrement financier de 2008 afin d'en comprendre les causes véritables pour tenter de trouver des solutions à ce problème systémique récurrent.

En fait, c'est la première fois que je vois un reportage grand public tel que le vôtre sur ce sujet qui ose montrer certains des visages des assassins financiers. Mais encore une fois M. Lépine, sans vouloir vous offenser, on survole le problème. On ne l'analyse pas en profondeur afin d'en dégager une compréhension profonde. On ne propose aucune solution, laissant les peuples et les nations entièrement à la merci des Banksters pour une prochaine fois.

J'aimerais vous apporter si vous me le permettez, mon humble contribution. À la fin de l'article cité en objet de ce courriel, je vous propose des informations très importantes qui y sont très étroitement reliées.

Monsieur Lépine, ce que j'avance ici n'est pas du domaine de la théorie du complot. D'ailleurs cette théorie stupide n'existe que dans les esprits obtus (habituellement ayant droit de parole public) qui refusent d'enquêter sérieusement sur les évidences de l'existence d'une machination financière et politique légalisée, mondialisée, et meurtrière. Il s'agit ici de la stricte vérité documentée. Il suffit d'en faire sérieusement le tour avec un esprit ouvert pour s'en faire une synthèse.

Vous avez abondamment parlé de la situation de l'Islande dans votre reportage. Veuillez s'il vous plait prendre acte des développements spectaculaires qui s'y sont produits, probablement après la réalisation de votre série.

Notez que l'article du CADTM ci-contre, ne mentionne pas la situation exceptionnelle qui prévaut en Islande depuis novembre 2010. En effet, depuis le samedi 27 novembre, l'Islande dispose d'une Assemblée constituante composée de 25 simples citoyens élus par leurs pairs. Ce peuple pacifique de 320 000 habitants, dépossédé par ceux-là même qui avaient organisé, planifié, et perpétré l'effondrement monétaire mondial de 2008, a obligé le gouvernement à démissionner, annulé la dette extérieure, nationalisé la banque centrale faisant fi des représentants (Banksters) du Fond Monétaire International (FMI) et de la Banque Mondiale (BM). Son but : réécrire entièrement la constitution de 1944 en tirant notamment les leçons de l'effondrement financier qui a frappé le pays de plein fouet.

En Islande, pour la première fois de l'histoire de l'humanité récente, on semble véritablement s'approcher d'une vraie démocratie et non du simulacre occidental actuel.

Le défit est énorme car le Nouvel Ordre Mondial (Totalitaire Marchand) des Banksters va probablement tout faire pour écraser cette rébellion. (Voir l'effondrement de l'Argentine en 2001.)

Un pays sans dette extérieure, qui imprime sa propre monnaie et émet son propre crédit et ce sans intérêt pour le peuple, est un pays révolutionnairement indépendant.

Bien à vous.

::Jean-Paul :Massie :: (ing.
du Gros Bon Sens)


 

Quand l'Islande réinvente la démocratie
16 décembre 2010 par Jean Tosti

Selon le Comité pour l'annulation de la dette du Tiers monde (CADTM) « Un pays peut refuser de payer sa dette, l'Équateur, l'Argentine et le Paraguay ont refusé de payer leurs dettes à la Banque mondiale, au Fmi, au Club de Paris et aux banquiers. »

Et le Club de Paris ne tient pas à ce que vous sachiez la nouvelle. Mais pourquoi donc?

Depuis des années, des gens comme le congressiste américain Ron Paul qui réclament haut et fort le démantèlement de la Réserve Fédérale (FED), très bien informés sur l'histoire de la création et de l'exploitation du système financier mondial usurier inventé par Mayer Amschel Rothschild, fondateur de la dynastie Rothschild originaire d'Allemagne, affirment à tous vents qu'il faut cesser à tout prix cette folie insensée qui est celle de croire en l'existence d'une dette nationale extérieure à être rembourser à des Banksters privés, et ce au grand mépris de la qualité de vie des peuples extorqués de force par les agences fiscales du revenu des banques centrales répondant au FMI et à la Banque Mondiale, lesquels établissent arbitrairement selon leur propre agenda de conquêtes et de domination, les politiques monétaires obligeant les gouvernements fantoches pris à la gorge, d'adopter nivelant toujours par le bas, des mesures sociales draconiennes.

En regard de cette connaissance plus approfondie et étendue du système financier, de la création et de l'émission de l'argent dette, et, de ce que ce système a fait avec les identités véritables de chaque citoyen contribuable, toute dette nationale ou personnelle envers une institution financière est illégitime et illégale. Toute tentative de récupération devrait être automatiquement considérée comme étant frauduleuse et criminelle. Des contres mesures nationales et personnelles de sauvegarde du patrimoine et de récupération du patrimoine déjà dérobé devraient alors être systématiquement appliquées et les fautifs empêchés de nuire à la collectivité.

Quand est-ce que ce sera au tour du peuple québécois et canadien de comprendre qu'ils peuvent et doivent obtenir la pareille? Un pays sans dette extérieure, qui imprime sa propre monnaie et émet son propre crédit et ce sans intérêt pour le peuple, est un pays indépendant. Les indépendantistes péquistes et bloquistes doivent se réveiller de leur rêve insensé d'une nation indépendante (TOUJOURS ET ENCORE enchainée au Banksters mondiaux) lequel nous a fait perdre assez de temps d'énergies et d'"argent dette".

À la fin de l'article du Comité pour l'annulation de la dette du Tiers monde, voir aussi:

-         Audiences du Congrès américain (octobre 2008) : adoption de la loi martiale en prévention de l'effondrement économique de 2008. (Vidéos)

-         Audiences commission d'enquête sénatoriale sur la Réserve Fédérale : disparition de neuf milles (9 000) milliards US volatilisés. (Vidéo)

-         Timothy Franz Geithner, Secrétaire au Trésor des États-Unis au sein de l'administration Obama, ne paie pas d'impôts. Embarras majeurs pour Barack Obama et son protégé de Wall Street. (Vidéos)

-       L'argent dette est créé (sur du vent) par les banques : Un des témoignages les plus clairs sur les pratiques bancaires, par Graham F. Towers, Gouverneur de la Banque centrale du Canada de 1934 à 1955. (Textes sommaires français et anglais.) Document original de 850 pages.

-         Présentation de l'Argent dette, documentaire de Paul Grignon. (Vidéo)

-         Documentaire capital et très révélateur du cinéaste Aaron Russo sur la création de la (FED) et de l'(IRS) et du fonctionnement réel du système de la Réserve Fédérale.

-         Entrevue de Aaron Russo sur son amitié avec Nick Rockefeller et les aveux de Rockefeller sur les évènements du 11 septembre 2001 qui ont amené le monde dans une guerre sans issue contre le terrorisme.

-         La dette du tiers monde : Une tragédie moderne en cinq actes par Eric De Ruest (Vidéo)







Au sommaire 

1.       Un pays peut refuser de payer sa dette.

2.     L'Équateur, l'Argentine et le Paraguay ont refusé de payer leurs dettes à la Banque Mondiale, au FMI, au Club de Paris et aux banquiers.

3.     Ces pays n'ont pas connu le chaos. Bien au contraire…

4.     L'Argentine connaît un taux de croissance de plus de 8 % depuis 2003, et l'Équateur, de 3 à 4 %.



13 février 2011

Eric Toussaint : « C'est parfaitement possible pour un pays de refuser de payer sa dette ».


REPRISE d'ARTICLE

Le Comité pour l'annulation de la dette du Tiers monde (CADTM) invite les gouvernements africains à suivre l'exemple de certains pays de l'Amérique du Sud qui ont refusé de payer la dette illégitime, réclamée aux pays en développement. De l'avis de Eric Toussaint, « c'est parfaitement possible pour un pays de refuser de payer sa dette ». Et les exemples sont légion dans le monde.

Equateur, Argentine, Paraguay. Voilà autant de pays qui ont refusé de payer leurs dettes à la Banque mondiale, au FMI, au Club de Paris et aux banquiers. C'est le Belge Eric Toussaint, le président du Comité pour l'annulation de la dette du Tiers monde (CADTM) qui l'a révélé, hier, au cours d'une conférence de presse à l'UCAD dans le cadre du Forum social mondial.
« Si je vous donne tous ces exemples, c'est pour vous montrer que c'est parfaitement possible pour un pays de refuser de payer sa dette. Et que contrairement à ce qu'on fait passer comme message, cela ne produit pas le chaos. L'Argentine connaît un taux de croissance de plus de 8 % depuis 2003. L'Equateur connaît un taux de croissance de 3 à 4 %. Ces pays n'ont pas connu le chaos. Bien au contraire, ils ont enregistré une amélioration des salaires, des pensions et des conditions de vie des populations', soutient Eric Toussaint qui a participé à l'audit de la dette de ces pays. »

Ce qui lui fait dire que cela peut inspirer les pays africains à qui on réclame une 'dette illégitime et illégale'. Parmi toutes ces expériences, sources d'inspiration en Amérique latine, le plus intéressant, c'est l'Equateur où le Cadtm a directement participé à l'audit de la dette. 'Un nouveau président a été élu fin 2006 qui s'appelle Raphaël Corréa à la tête d'un processus qu'il appelle lui-même révolution citoyenne. Immédiatement il s'est engagé à faire l'audit de l'endettement de l'équateur de 1976 à 2006 par une commission de dix-huit experts en dette dont moi-même. Après quatorze mois de travaux, après avoir épluché des dizaines de milliers de dossiers et des centaines de contrats, nous avons soumis nos recommandations au gouvernement. Et après avoir identifié que 80 % de la dette publique de l'Equateur était de la dette illégitime, et sur la base de nos recommandations, le gouvernement a unilatéralement décidé de suspendre le paiement de la dette sous forme de bons', renseigne Toussaint.

Il s'agit, dit-il, des titres de la dette publique vendus sous forme de bons sur les marchés financiers, en particulier à Wall Street. Des bons qui venaient à échéance entre 2012 et 2030 pour un montant de 3 230 millions de dollars. 'Il y a eu donc un acte souverain unilatéral de suspension du paiement de la dette. Du coup, les détenteurs de ces titres de la dette, qui étaient des banquiers nord-américains, se sont mis à les vendre sur le marché à 20 % de leur valeur. Finalement, le gouvernement équatorien est arrivé à racheter 91 % des titres pour un coup total de 900 millions de dollars. Ce qui fait une économie, si on calcule le stock de capital racheté à bas prix et les intérêts qui ne sont pas payés jusqu'en 2030, d'où un bénéfice de plus de 7000 millions de dollars. Ce qui a permis au gouvernement très concrètement de faire passer dans le budget de l'Etat le service de la dette qui était de 32 % à 15 % et de faire passer les dépenses sociales qui représentaient 12% à 25% du budget. Donc, il y a une inversion des priorités', informe-t-il.

Eric Toussaint révèle que 'l'Equateur, et vous n'en avez pas entendu parler, a expulsé le représentant permanent de la Banque mondiale. Parce que la Banque mondiale ne veut pas qu'on sache qu'on peut expulser ses représentants. L'Equateur a mis dehors le Fmi qui avait ses locaux au sein de la banque centrale. L'Equateur a quitté le tribunal de la banque mondiale qui est le Centre international de règlement des différends. Ce que la Bolivie a fait, deux ans auparavant. Donc nous pensons que cet exemple, qui s'est passé en Equateur, peut parfaitement se passer dans la majorité des pays en Afrique. Cela devrait être reproductible en Grèce, par exemple, qui est confronté à une crise terrible de la dette'.

Le temps des audits de la dette

Autre exemple servi lors de cette conférence : l'Argentine. D'après Toussaint, ce pays a suspendu en 2001 le paiement de la dette, justement après un mouvement social un peu comparable à celui de la Tunisie de janvier 2011. 'L'Argentine a suspendu le remboursement de 1000 milliards de remboursement de titres de la dette de décembre 2001 à mars 2005. L'Argentine a également suspendu les remboursements de la dette au Club de Paris qui est un des principaux créanciers des pays d'Afrique subsaharienne avec le Fmi et la Bm... L'Argentine a suspendu le paiement de sa dette à l'égard du Club de Paris pour un montant de 6 milliards de dollars de 2001 jusqu'à aujourd'hui. Il n'y a aucun journaliste qui a entendu parler de cela. Parce que le Club de Paris ne veut pas qu'on sache ailleurs dans le monde qu'on peut refuser de le payer. Le Club de Paris ne dit rien et fait tout pour que cela ne se sache pas. Après dix ans de non paiement, l'Argentine dit qu'on peut recommencer à dialoguer avec le Club de Paris, mais le Fmi n'en fera pas partie. Le Club de Paris a accepté ; alors que d'habitude, il exige la présence du Fmi', fait-il remarquer.

Le dernier exemple qu'Eric Toussaint a donné, c'est le Paraguay qui a répudié sa dette à l'égard des banquiers suisses en 2005. 'La Suisse n'est pas contente et a porté plainte contre le Paraguay qui a dit : "on s'en fout de ces condamnations. Mieux que cela, nous allons déposer une plante à la Haye contre la Suisse qui protège ses banquiers suisses." "Et la Suisse ne dit rien non plus", ajoute-t-il. Avant de souligner qu'il donne cet exemple, pour qu'on sache qu'il y a d'autres sources d'inspiration pour d'autres gouvernements. 'Les gouvernements sous la pression des mouvements sociaux doivent lancer des audits de la dette. Et prendre des mesures unilatérales de non-paiement de la dette', commente Toussaint. Il pense que la Tunisie pourrait suivre l'exemple 'si on a un gouvernement dont sont absents les représentants du Rcd, un gouvernement réellement en rapport avec les mouvements sociaux pourra mettre en place une commission d'audit de la dette et à l'issue des résultats décider la suspension du paiement'.

Mamadou SARR (Quotidien « Walfadjri » Dakar)




·       L'argent dette est créée par les banques : Témoignage de Graham Towers
Un des témoignages les plus clairs sur les pratiques bancaires fut donné par Graham F. Towers, Gouverneur de la Banque centrale du Canada de 1934 à 1955, devant le Comité parlementaire canadien des Banques et du Commerce au printemps 1939. Le rapport de ce comité compte 850 pages. (Standing Committee on Banking and Commerce, Minutes of Proceedings and Evidence Respecting the Bank of Canada, Ottawa, J.O. Patenaude, I.S.O., Printer to the King's Most Excellent Majesty, 1939.) La grande partie du témoignage de Towers résulte des questions de "Gerry" McGeer, K.C., ancien maire de Vancouver, qui comprenait clairement le fonctionnement des banques. Voici quelques extraits du témoignage de Towers (nous traduisons de l'anglais):

·       Sur l'internet, vous pouvez trouver toutes les audiences du Congrès américain, que j'ai personnellement toutes visionné il y a 28 mois, où l'on voit les députés, en octobre 2008, être forcés par Henry Paulson, alors Secrétaire au Trésor américain, d'adopter la loi martiale pour se prémunir de sa menace formelle d'un effondrement économique sans précédant. Ils ont passé la loi et ont quand même eu le l'effondrement financier.

·       Vous pouvez aussi visionner une audience d'une commission d'enquête du Congrès sur la Réserve Fédérale, où l'on voit, complètement ahuris, l'inspectrice en chef Coleman de la FED esquiver toutes les questions sur la disparition de neuf milles (9 000) milliards US volatilisés.

·       Voici d'autres audiences devant le sénat où l'on cherche où est passé de l'argent dette.
Senator Sanders asks Bernanke WHERE IS THE MONEY!!!
"Bernanke Threatens The Congress" We will cause an Economic Collapse if you audit the Fed!
Bernanke Confronted On Which Foreign Banks Recieved Over Half a Trillion Dollars
Tim Geithner Refuses To Answer Brad Sherman On Some Questions About The Fed

·       Timothy Franz Geithner (Tim Geithner), Secrétaire au Trésor des États-Unis au sein de l'administration Obama, ne paie pas d'impôts.
Geithner Apologizes for Not Paying Taxes
Obama: Geithner Situation an 'Embarrassment'

·       Présentation de l'Argent dette, documentaire de Paul Grignon
La Banque du Canada qui émet le crédit, imprime le papier monnaie et impose des intérêts usuraires sur l'argent dette prêté aux gouvernements, ne nous appartient pas. Il s'agit d'une institution totalement privée dont la majorité des actions de classe A appartiennent à des Banksters mondiaux, tel que les Rockefeller et les Rothschild, pour ne nommer que ceux-là. Si elle est publique comme vous pourriez d'emblée le penser, essayez alors de la trouver dans les pages bleues gouvernementales du bottin de téléphone de Bell Canada. Vous la trouverez seulement dans les pages blanches. Il ne s'agit pas d'une erreur de Bell.

·       America: Freedom to Fascism - Director's Authorized Version (Documentaire capital et très révélateur du cinéaste Aaron Russo : création de la (FED) et de l'(IRS), en coup d'état silencieux, et du fonctionnement réel du système de la Réserve Fédérale.)

·       Historic Interview with Aaron Russo, Fighting Cancer and the New World Order (Entrevue de Aaron Russo sur son amitié avec Nick Rockefeller et les aveux de Rockefeller sur les évènements (11-11-2001) qui ont amené le monde en guerre contre le terrorisme.)

·       Vidéo - La dette du tiers monde : Une tragédie moderne en cinq actes
9 février par Eric De Ruest

Cette interview de Damien Millet à été réalisée lors de son passage en Belgique pour les 20 ans du CADTM. Damien nous explique de manière simple et pédagogique l'histoire de la dette du tiers monde vue comme une tragédie antique en 5 actes. Une tragédie loin d'être terminée malgré de nombreux effets d'annonce.


Edward Mandell House had this to say in a private meeting with President Woodrow Wilson (1913-1921)

(Le président Woodrow Wilson a déjà déclaré qu'Edward Mandell House était son alter ego, la voie de sa conscience.)

"Very soon, every American will be required to register their biological property in a National system designed to keep track of the people and that will operate under the ancient system of pledging. By such methodology, we can compel people to submit to our agenda, which will affect our security as a chargeback for our fiat paper currency. Every American will be forced to register or suffer not being able to work and earn a living. They will be our chattel, and we will hold the security interest over them forever, by operation of the law merchant under the scheme of secured transactions." 

"Americans, by unknowingly or unwittingly delivering the bills of lading to us will be rendered bankrupt and insolvent, forever to remain economic slaves through taxation, secured by their pledges. They will be stripped of their rights and given a commercial value designed to make us a profit and they will be none the wiser, for not one man in a million could ever figure our plans and, if by accident one or two should figure it out, we have in our arsenal plausible deniability. After all, this is the only logical way to fund government, by floating liens and debt to the registrants in the form of benefits and privileges. This will inevitably reap to us huge profits beyond our wildest expectations and leave every American a contributor to this fraud which we will call Social Insurance. Without realizing it, every American will insure us for any loss we may incur and in this manner, every American will unknowingly be our servant, however begrudgingly. The people will become helpless and without any hope for their redemption and, we will employ the high office of the President of our dummy corporation to foment this plot against America."