20 décembre 2015

Le pouvoir de l’argent au service du peuple

Le pouvoir de l’argent au service du peuple

Grand social-démocrate, M. Parizeau a travaillé toute sa vie à mettre le pouvoir de l’argent au service du peuple québécois. Grâce à lui et à M. Lévesque, la nationalisation de l’électricité a été possible. À une époque où les banquiers de Montréal et de Toronto fermaient le robinet du financement pour bloquer l’émancipation des Québécois, ils sont allés chercher l’argent directement à New York, et nous pouvons maintenant compter sur Hydro-Québec, un extraordinaire outil de développement économique.

Il est l’un des grands responsables de notre prise de confiance envers l’économie. Malgré toutes ses réalisations économiques, l’une de ses plus grandes fiertés aura été d’avoir contribué à la mise sur pied de notre système d’éducation. Tant comme grand mandarin de l’État que comme ministre des Finances et premier ministre, M. Parizeau a été l’un des principaux artisans de l’État du Québec, un puissant outil collectif qui fait la force du Québec encore aujourd’hui.

http://bit.ly/1metnxH
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/441966/le-pouvoir-de-l-argent-au-service-du-peuple

Le pouvoir de l’argent au service du peuple
6 juin 2015
Martine Ouellet
Députée du Parti québécois et ex-candidate à la chefferie
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30 novembre 2015

Abjurer le serment d’allégeance à la reine anglaise

En fin de mandat

Abjurer le serment d’allégeance à la reine anglaise

Comme les députés de l’Assemblée nationale n’ont pas encore eu le courage de refuser de prêter le serment d’allégeance à la reine en début de mandat, ils devraient, à la fin de ce mandat, abjurer par décret ou autrement, ce grotesque serment. Rappelons qu’une très forte majorité du peuple québécois est en faveur de l’abolition de la monarchie prévalent au pays. Et si le représentant de la reine s’avisait de dissoudre l’Assemblée nationale pour autant, rien n’y changerait et les députés ne perdraient pas leurs « avantages ». Évidemment la Première Ministre ne se sentirait plus obligée de demander au lieutenant-gouverneur de déclencher les élections. Elle pourrait le faire elle-même. Vous me direz que c’est là un geste inconstitutionnel et illégal, je vous répondrai que cette constitution canadienne imposée au Québec est illégitime et que le gouvernement québécois a pour devoir moral de la répudier. C’est maintenant le meilleur moment pour enfin poser cet acte de courage et d’audace et créer, s’il se doit, une crise politique nécessaire et salutaire. Rappelons-nous que l’Assemblée nationale a abolie le conseil législatif (sénat québécois) où trônait 24 conseillers non-élus et nommés de façon partisane. C’était inconstitutionnel mais personne n’eut à redire tant tout le monde s’entendait pour croire que l’institution était coloniale, périmée et gênante.

  • L’acte d’abjuration du serment à la reine d’Angleterre. 
    J’affirme solennellement que je ne serai jamais fidèle et ne porterai jamais sincère allégeance à la reine Élisabeth deux, ni à ses héritiers et ses successeurs. 
    Ainsi, moi ….. …., j’abjure le serment d’allégeance à la monarchie anglaise et souhaite que le chef suprême de l’État québécois devienne, dans les plus brefs délais, un Québécois.
    Je souhaite que chaque québécois en fasse la lecture devant son miroir en se rappelant son histoire nationale et diffuse le plus largement possible cet acte d’abjuration du serment à la royauté anglaise. 
    Alain Raby, chef intérimaire du CARRÉ BLEU

31 octobre 2015

C’est bien vrai que tous nous subissons l’influence de cette étrangère... et de sa famille.



Quelques années après ma naissance, mon père connut une étrangère récemment arrivée dans notre village.

Depuis le début, mon père fut subjugué par cette personne, si bien que nous en arrivâmes à l'inviter à demeurer chez nous.
                           
L'étrangère accepta et depuis lors elle fit partie de la famille.
                         
 Moi je grandissais, je n'ai jamais demandé d'où elle venait, tout me paraissait évident.
                          
 Mes parents étaient enseignants : ma maman m'apprit ce qu'était le bien et ce qu'était le mal et mon père m'apprit l'obéissance.
                          
 Mais l'étrangère, c'était une conteuse, une enjôleuse.
                          
Elle nous maintenait, pendant des heures, fascinées par ses histoires mystérieuses ou rigolotes.
                       
Elle avait la réponse à tout ce qui concernait la politique, l'histoire ou les sciences.

Elle connaissait tout du passé, du présent, elle aurait presque pu parler du futur !
                         
Elle fit même assister ma famille à une partie de football pour la première fois.

Elle me faisait rire et elle me faisait pleurer.
                          
L'étrangère n'arrêtait jamais de parler; ça ne dérangeait pas ma Maman.
                        
 Parfois maman se levait, sans prévenir, pendant que nous continuions à boire ses paroles.
Je pense qu'en réalité, elle était à la cuisine pour avoir un peu de tranquillité
(Maintenant je me demande si elle n'espérait pas avec impatience qu'elle s'en aille).
                          
Mon père avait ses convictions morales, mais l'étrangère ne semblait pas en être concernée.
                          
Les blasphèmes, les mauvaises paroles, par exemple, personne chez nous, ni voisins, ni amis, ne s'en seraient permis.
                          
Ce n'était pas le cas de l'étrangère qui se permettait tout, offusquant mon père et faisant rougir ma maman.
                        
Mon père nous avait totalement interdit l'alcool. Elle, l'étrangère, nous incitait à en boire souvent.
                          
Elle nous affirmait que les cigarettes étaient fraîches et inoffensives, et que pipes et cigares faisaient distinguer.
                         
Elle parlait librement (peut-être trop) du sexe.
                        
Ses commentaires étaient évidents, suggestifs, et souvent dévergondés.
                          
 Maintenant je sais que mes relations ont été grandement influencées par cette étrangère pendant mon adolescence.
                          
Nous la critiquions, elle ne faisait aucun cas de la valeur de mes parents, et malgré cela, elle était toujours là !
                          
Des dizaines d’années sont passées depuis notre départ du foyer paternel.
                          
Et depuis lors beaucoup de choses ont changé : nous n'avons plus cette fascination.
                         
Il n'empêche que, si vous pouviez, pénétrer chez mes parents, vous la retrouveriez quand même dans un coin, attendant que quelqu'un vienne écouter ses parlotes ou lui consacrer son temps libre…
                         
Voulez-vous connaître son nom ?
                          
Nous, nous l'appelons… Télévision !
                           
Il faudrait que cette belle histoire soit lue par tout le monde.
                          
Attention :
Maintenant, elle a un époux qui s'appelle Ordinateur…
 … un fils qui s'appelle Portable…
 ... une fille qui s'appelle Tablette
 … et un neveu pire que tous : Lui c'est Smartphone !
                          
 et ils se lient tous ensemble pour nous éloigner les uns des autres !!!


23 octobre 2015

Que de souvenirs...

Que de souvenirs...
 

 Saviez-vous  que toutes les écoles primaires et secondaires  conservaient les
photos  de classes (groupes) prises chaque année, et ce depuis  1900 ?
Copier ou cliquez sur le lien suivant pour  retrouver vos photos (primaire et secondaire  uniquement)

Précisez:  la Ville, l'école concernée et  l'année


http://www.pedagonet.com/photos/photoscolaire2.htm

C'est  Génial de se revoir, même avec quelques années de moins,  on se reconnait
finalement  très bien.

Bonne chance pour la recherche, surtout mettez le nom de la ville comme elle s'appelait au moment
 où vous fréquentiez l'école.

L’esclavage, le terrorisme et l’Islam

 Intéressant le document ci-joint et je me demande à quel %%% le Québec est rendu.
Notre couillon national se gardera bien de nous le faire savoir cet adepte du multiculturalisme Canadian à la Trudeau.

RaymondH

Message d’origine L’esclavage, le terrorisme et l’Islam.eml
Objet:
L’esclavage, le terrorisme et l’Islam
De:
Un ami
Date:
Sat, 26 Sep 2015 15:00:25 -0400
À:
vous

L’esclavage, le terrorisme et l’Islam
SOURCE DES STATISTIQUES 2014 
Extraits de:«Slavery, terrorism and Islam» The historical roots and contemporary threat.

L’esclavage, le terrorisme et l’Islam : Les racines historiques et la menace  contemporaine par:   Dr. Peter Hammond

L’auteur : le Dr. Peter Hammond détient un doctorat en théologie.

MODUS OPERANDI

L’Islam n’est pas une religion, ni un culte. Dans sa forme, c’est un mode de vie complet.
L’Islam a des composantes religieuses, légales, politiques, économiques, sociales et militaires.
La composante religieuse sert à masquer toutes les autres.

L’islamisation d’un pays débute lorsqu’il y a suffisamment de musulmans à l’intérieur du pays pour commencer à revendiquer des accommodements religieux.

Lorsque les sociétés ouvertes à la diversité culturelle, (le multiculturalisme de Trudeau) à la rectitude politique et à la tolérance consentent aux demandes d’accommodements religieuses provenant de leurs communautés musulmanes, les autres composantes s’infiltrent progressivement.

Voici comment ça fonctionne:
Aussi longtemps que la population musulmane demeure autour ou inférieure à 2%, peu importe le pays, elle sera perçue comme étant une minorité pacifique, et non comme une menace par les autres citoyens.


C’est le cas présentement:
Australie --- musulmans 2.25 %
Espagne --- musulmans 2.3 %
États-Unis --- musulmans 2 %
Italie --- musulmans 2.6 %

Entre 2% à 5%, le prosélytisme (la conversion) des autres minorités ethniques et des groupes marginaux commence par le recrutement des détenus dans les prisons et des jeunes marginaux faisant partie des gangs de rues.

C’est le cas notamment au:
Allemagne --- musulmans 5 %
Canada --- musulmans 3 %
Danemark --- musulmans 4.1%
Norvège --- musulmans 3 %
Royaume Uni --- musulmans 4.6%

Lorsqu’ils atteignent 5%, les musulmans exercent déjà une influence excessive en proportion de leur pourcentage de la population.
Ils feront alors de la pression pour l’introduction de produits alimentaires « halals », (propres selon les standards islamiques) assurant ainsi l’embauche de musulmans dans leur préparation.

Ils augmenteront leur pression sur les chaînes alimentaires pour que celles-ci mettent ces produits en tablette les menaçant de représailles allant jusqu’à la faillite s’ils ne se soumettent pas à leurs demandes.

C’est ce qui se passe en:
Pays Bas --- musulmans 5.5%
Suède --- musulmans 4.9%
Suisse --- musulmans 5.7%
Pays Bas --- musulmans 5.5%
Trinidad & Tobago --- musulmans 7 %

Rendus à ce stade, les musulmans s’infiltreront graduellement dans toutes les sphères d’influence et travailleront afin que les gouvernements en place leur permettent de se gouverner eux- mêmes (à l’intérieur de leurs enclaves « ghettos ») selon les lois de la sharia, (loi coranique); le but ultime des Islamistes étant d’établir la sharia dans tous les pays du monde.

Quand le nombre de musulmans approche 10% de la population, ils accroissent le non-respect des lois allant jusqu’à les défier ouvertement afin de revendiquer des conditions de vie propres à leur culture et à leurs croyances.

À Paris, nous voyons régulièrement des incendies d’autos dans les enclaves musulmanes.

Toute action perçue comme étant anti-musulmane résulte dans des soulèvements de foules et des menaces, comme à Amsterdam, où l’on s’oppose violemment aux bandes dessinées de Mahomet et des films sur l’Islam. Au moment d’écrire ces lignes 12 personnes viennent d’être tuées chez Charlie Hebdo à Paris...

De telles tensions se produisent à tous les jours, principalement dans les enclaves musulmanes en:

Chine --- musulmans 10 %
France --- musulmans 9.6%
Guyane --- musulmans 7 %
Israël --- musulmans 16 %
Philippines --- musulmans 10 %
Thaïlande --- musulmans 10 %

Lorsqu’ils atteignent 20% de la population, les pays d’accueils connaissent des manifestations de violence déclenchées la plupart du temps pour des peccadilles, la formation de milices djihadistes, des tueries, des incendies d’églises chrétiennes et de synagogues juives comme en:

Indes --- musulmans 20 %
Kenya --- musulmans 33 %
Russie --- musulmans 19 %

À 40%, les nations expérimentent les massacres sporadiques, les attaques terroristes à répétition, et la guérilla militaire sans répit comme c’est le cas présentement en :

Chad --- musulmans 50%
Éthiopie --- musulmans 50%

À partir de 60%, les nations vivent la persécution sans retenue des citoyens non-musulmans (infidèles) de toutes religions (incluant les musulmans qui ne se conforment pas à l’idéologie intégriste), le nettoyage ethnique, l’utilisation de la loi de la sharia comme arme de répression, et l’application de la « jizya » (taxe des infidèles) tel qu’en :

Albanie --- musulmans 79.9%
Bosnie --- Musulmans 60 %
Malaysie --- musulmans 60.4%
Quatar --- musulmans 77.5%

Au-delà de 80%, l’intimidation est incessante, l’oppression et le djihad
violent sévit impunément, le nettoyage ethnique est étatisé allant jusqu’au génocide.
Les intégristes chassent ou éliminent tous les infidèles (non-convertis) car les pays qu’ils occupent doivent être 100% musulman comme au :

Bangladesh --- musulmans 90.4%
Égypte --- musulmans 95 %
Indonésie --- musulmans. 88 %
Iran --- musulmans 99 %
Iraq --- musulmans 97 %
Jordanie --- musulmans 94 %
Liban --- Musulmans 99 %
Maroc --- musulmans 99 %
Pakistan --- musulmans 96.3 %
Palestine --- musulmans 98 %
Soudan --- musulmans 97 %
Syrie --- musulmans 90
Turkie --- musulmans 99.8 %

Lorsqu’ils atteignent l’objectif ultime et que la population est devenue musulmane à 100%, cela est supposé, selon eux, conduire à :
« Dar-es-Salaam », la maison Islamique de la Paix.

Tous les habitants sont musulmans, les madrasas sont les seules écoles, et le Coran est la seule parole tel qu’en :

Afghanistan --- musulmans 100%
Arabie Saoudite --- musulmans 100%
Somalie --- musulmans100%
Yemen --- musulmans 100%

Mais malheureusement, la paix ne survient jamais, car dans ces pays, musulmans à 100%, les plus radicaux exerçant un contrôle total et le pouvoir absolu satisfont leur soif insatiable de sang en tuant leurs coreligionnaires qui sont moins radicaux qu’eux..

« Avant l’âge de neuf ans, j’avais appris le canon qui régit la vie arabe. C’était moi contre mon frère; moi et mon frère contre mon père, ma famille contre les cousins du clan; le clan contre la tribu, la tribu contre le monde, et nous tous contre l’infidèle ».
Leon Uris, “e Haj”.

C’est important de comprendre que dans certains pays, avec des populations musulmanes nettement inférieures à 100% comme la France, que les gens qui vivent dans ces enclaves (ghettos), sont musulmans à 100%; cette population vit ainsi sous la loi de la sharia.

La police nationale française n’entre même pas à l’intérieur de ces enclaves. Il n’y a pas non plus de cours judiciaires d’état, ni d’écoles, ni de facilités religieuses non-musulmanes.

En pareille situation, les musulmans n’intègrent pas la communauté élargie. Les enfants fréquentent la madrasa, ils n’apprennent que le coran. Le seul fait d’avoir des contacts avec des infidèles est passible de la peine de mort.

Conséquemment, dans certains endroits dans certains pays, les Imams musulmans et les extrémistes exercent plus de pouvoir que les autorités et les forces policières...

Aujourd’hui, plus de 2 milliards de musulmans constituent 28% de la population mondiale.

Cependant, le taux de natalité chez les musulmans dépasse et ce, de beaucoup, les taux de natalité des chrétiens, hindous, bouddhistes, juifs, et de tous les autres croyants ou non-croyants. Les musulmans dépasseront ainsi 50% de la population mondiale avant la fin
du siècle.

Veuillez s’il-vous-plaît transmettre cette information à tous ceux parmi vos proches qui s’inquiètent avec raison de l’avenir sombre qui attend les prochaines générations si nous n’avons pas le courage et la force morale pour renverser ce courant religieux maléfique pour l’humanité.

C’est aussi votre combat!!!

« Un conciliateur c’est quelqu’un qui nourrit un crocodile en espérant qu’il sera le dernier à être mangé. » Winston Churchill

« La seule condition au triomphe du mal, c’est l’inaction des gens de bien. »
Edmund Burke


18 octobre 2015

L'élection, théâtre de la démocratie


Publication: 15/10/2015 23:10 EDT

Ce billet de blogue est un texte collectif dont la liste des signataires se trouve en pied de page

Avec ses décors en carton-pâte, son jeu souvent forcé, ses enjeux frivoles, l'élection fédérale prend parfois des airs de théâtre d'été dont la représentation n'en finirait plus de finir. Heureusement, en fin de parcours, la théâtralité laisse place à la belle et inébranlable démocratie. En effet, lors d'une élection, le peuple est appelé à voter et à décider de son destin. N'est-ce pas là quelque chose de profondément noble que de voir la démocratie s'exprimer ?

En théorie, bien sûr. Mais parlez-en à la Grèce pour voir. Celle-ci a beau avoir élu un parti anti-austérité et gagné un référendum contre l'austérité, ses créanciers lui ont tout de même lancé un «non» catégorique et lui ont imposé une austérité encore plus sévère, question peut-être de la punir d'avoir eu le culot de faire un référendum. Comme disait Theodor Ludwig Wiesengrund-Adorno, si voter devait changer le système, ce serait illégal. Est-ce dire que notre «moins pire système» serait un simulacre de démocratie plus pernicieux que les autres, puisqu'il laisse supposer un poids politique réel? Est-ce que Étienne Chouard a raison lorsqu'il affirme que «le fait de nous imposer de désigner des maîtres est une supercherie. Cela donne un résultat ploutocratique, avec les riches qui dirigent depuis 200 ans»?

Si voter est certes un geste admirable de citoyenneté, reste qu'avec le pouvoir et l'argent en jeu, mais aussi avec les lobbyistes qui s'activent, les sondages à la méthodologie douteuse, le quatrième pouvoir qui s'en mêle, rien ne va plus pour la démocratie. Sommes-nous à ce point naïfs ou alors conscients-consentants? «L'adulte ne croit pas au père Noël. Il vote», blaguait Pierre Desproges, tandis que Michel Chartrand affirmait qu'il faut être abruti pour se croire dans un pays démocratique.

Nous avons parfois l'impression, au Québec, de jouir d'un plus grand impact lorsque nous votons à l'émission La Voix. Là, au moins, nous contrôlons quelque chose. Est-ce parce que l'on a enfin l'impression que notre vote sert à quelque chose, si futile en soit l'enjeu, que Star Académie et Occupation double sont des succès aussi retentissants?

Par ailleurs, même une fois élu, un gouvernement majoritaire, de par notre fonctionnement britannique, peut faire, à quelques exceptions près, tout ce qu'il entend, et ce, sans consulter le peuple.

Prenons l'exemple du projet de pipeline Énergie Est. Qu'importe si les Québécois sont majoritairement contre, tout indique que les pétrolières ont le gros bout du bâton pour imposer leur pétrole. Il existe des douzaines d'articles, reportages et enquêtes sur la façon dont la classe politique laisse littéralement les pétrolières et les banquiers écrire certaines lois, des lois qui démolissent l'environnement, les droits civils, l'économie, les services publics et la classe moyenne. Jack Abramoff, un célèbre lobbyiste américain, se vantait en riant, émerveillé de constater à quel point c'était d'une facilité déconcertante que «d'acheter» des politiciens pour écrire ses lois. Quelques billets de spectacles offerts et puis hop!, c'était chose conclue, affirmait-il. Des billets de spectacle en échange d'influence, cela vous rappelle-t-il la commission Charbonneau ?

Ce n'est pas bien différent au Canada. Les grandes pétrolières, pour parvenir à leurs fins, tirent les ficelles du gouvernement actuel en lui dictant quoi inclure dans ses projets de loi. Greenpeace révélait en janvier 2013 que les têtes dirigeantes des quatre grands groupes pétroliers du pays ont écrit à Joe Oliver et au ministre de l'Environnement Peter Kent pour leur demander des changements dans la loi afin de reconsidérer les directives environnementales en vigueur. Quelques mois plus tard, le projet de loi «mammouth» C-38 venait de manière historique saccager une multitude de lois sociales, économiques et environnementales. Tout cela pour faire le jeu du lobby pétrolier, lobby que Stephen Harper a d'ailleurs rencontré près de

3000 fois de 2008 à 2012.

Et qu'importe si M. Harper devait laisser sa place de premier ministre : soulignons que le principal chef de cabinet de Justin Trudeau, son bras droit, n'est autre que le lobbyiste pétrolier Cyrus Reporter. Bonnet blanc, blanc bonnet. On dit parfois que la politique est complexe, mais c'est un mythe. La politique est relativement simple et son exercice consiste à déterminer qui paye qui pour prendre quelle décision.

Parallèlement, l'un des adages du métier de journaliste, c'est follow the money. Alors que s'écrit une multitude d'articles traitant de la burqa ou du niqab, il n'y a malheureusement presque aucun article sur les lobbyistes et leur impact néfaste sur notre société et nos institutions. C'est relativement pareil en France, où les médias ne parlent que trop peu des vrais enjeux, ce qui aura provoqué une récente montée de lait de Jean-Luc Mélenchon en lien avec les 2900 suppressions d'emplois survenues chez Air France.

Au-delà des jeux de pouvoir et de coulisses, il demeure pourtant qu'une meilleure démocratie est possible, par et pour le peuple. À quand une démocratie où il serait possible d'organiser de réels référendums d'initiative populaire et où on procéderait au tirage au sort de nos politiciens? À quand une démocratie où «nous voterions nos lois nous-mêmes, un homme une voix, pour voter les lois, pas pour désigner des maîtres», comme le souligne Étienne Chouard ?

Le mythe de l'élection est très puissant. C'est même devenu un intouchable, une vache sacrée, dans nos sociétés occidentales. Il est pourtant nécessaire de le remettre en question et de réinventer l'élection - et la démocratie - afin de mettre un terme à l'impuissance politique et sociale actuelle des peuples.

À quoi bon voter, si c'est pour obéir aux ordres de nos dirigeants par la suite ?

Aujourd'hui, nous sommes rendus ailleurs.

Ce texte est cosigné par Étienne Boudou-Laforce, Paco Lebel, Normand Baillargeon, Guillaume Wagner, Dan Bigras, Jean-François Mercier, Ianik Marcil, Patrick R. Bourgeois, Marc-André Cyr, Frédéric Dubé, Sébastien Trudel, Ken Pereira, Sarah Labarre, Catherine Dorion, Véronique Grenier, Étienne Savignac, Jonathan Durand Folco, Vladimir De Thézier, Brice Dansereau-Olivier, Marie-Laurence Rancourt, Steve E. Fortin, Matthieu Bonnier, Roxanne Guérin, Philippe Dujardin, David Rankin, Stéphane E. Roy, Pascal Allard, Renart Léveillé, Bianca Longpré, Evelyne Abitbol, Dominic Palladini, Karim Akouche, Virginie Chaloux, Ludvic Moquin-Beaudry, Jean-François Lessard, Jérôme Peer-Brie, Tanya St-Jean, Mélodie Nelson, Benoit St-Hilaire, Jean Bottari, Victor-Lévy, Beaulieu, Laura Kneale, Marilyn Bastien, Nabila Ben Youssef, Michel Seymour, François Avard, Christian Bégin, Audrey Benoit, Mathieu Charlebois, Nathaly Dufour, Émile Proulx-Cloutier et Léa Clermont-Dion.
Source : http://huff.to/1hJdltc
15289-billet-collectif-election-theatre-democratie
http://quebec.huffingtonpost.ca/etienne-boudou-laforce/election-theatre-democratie_b_8307102.html

17 octobre 2015

Un Bloc québécois fort, c'est un Québec qui se tient debout



Le Québec n'est jamais aussi fort que lorsqu'il est uni et qu'il déploie ses immenses capacités. D'ici à ce que nous décidions, ensemble, d'aller plus loin comme nation et de faire du Québec un pays, le Bloc québécois est le seul parti fédéral engagé totalement et uniquement dans la défense et la promotion des intérêts du Québec. Pour les indépendantistes et les progressistes que nous sommes, la présence d'un Bloc Québécois fort à Ottawa constitue la meilleure garantie de se faire entendre, de faire valoir nos aspirations et de défendre nos valeurs.
La présence du Bloc québécois à Ottawa, c'est obliger le gouvernement fédéral à tenir compte de nos emplois, de nos entrepreneurs, de nos agriculteurs, de nos pêcheurs, de nos forêts, de nos régions, de nos choix. Seul le Bloc québécois peut ramener les priorités des Québécoises et des Québécois à l'ordre du jour à Ottawa.
Un Bloc québécois fort, c'est un Québec qui se tient debout. Voter pour le Bloc, c'est nous permettre d'avancer et d'obtenir des gains pour toutes les Québécoises et pour tous les Québécois.

Voter pour le Bloc, c'est aller chercher notre juste part d'argent afin de redonner au Québec une marge de manœuvre pour faire les bons choix, plutôt que de couper aveuglément comme le fait le gouvernement libéral de Philippe Couillard. Nous envoyons au moins 46 milliards de nos impôts à Ottawa chaque année. Ces sommes sont dépensées par un autre gouvernement qui ne se soucie pas de nos priorités. Cet argent finance, entre autres, l'exploitation des sables bitumineux et l'industrie de l'automobile en Ontario alors que l'électrification de nos transports, notre industrie forestière ou nos chantiers maritimes ne reçoivent que des montants anecdotiques. Tout comme l'ont fait les Américains et la Colombie-Britannique, nous pourrions barrer la route aux oléoducs, contribuer plus activement à promouvoir une économie durable et créer de la richesse chez nous en misant sur des technologies vertes à fort potentiel de croissance.
Voter pour le Bloc, c'est freiner les comportements inacceptables des entreprises ferroviaires, réglementées mollement par Ottawa, qui ne souhaitent que faire passer plus de convois pétroliers sur notre territoire; c'est défendre adéquatement la gestion de l'offre et faire écho aux inquiétudes légitimes suscitées par l'entente sur le Partenariat transpacifique; c'est dénoncer le pillage de la caisse d'assurance-emploi et œuvrer pour que nos travailleurs obtiennent une part équitable des contrats fédéraux qui sont payés avec nos impôts.
Voter pour le Bloc, c'est une voix pour notre culture et pour la promotion du français. À l'heure où les partis fédéralistes manquent cruellement d'ambition à cet égard, le Bloc québécois sera là pour rappeler que notre langue et notre culture nous distinguent.
Voter pour le Bloc, c'est élire des hommes et des femmes qui incarneront, dans cette autre capitale, notre détermination, comme nation libre, de s'épanouir. Le Bloc québécois parlera de ce grand projet rassembleur, celui qui a enrichi tant de nations avant nous.
Voter pour Bloc, dans un contexte de gouvernement minoritaire, libéral ou conservateur, c'est se donner la balance du pouvoir. La balance du pouvoir pour que les valeurs québécoises soient respectées, pour empêcher un autre quatre ans avec Stephen Harper, parce que nous devons nous souvenir du Parti libéral et que le NPD de Tom ou de Thomas ne dit pas la même chose au Québec que dans le reste du Canada.
Pour toutes ces raisons, j'ai voté pour le Bloc québécois, le seul et unique parti qui n'a que les intérêts des Québécoises et des Québécois à défendre.

 
Chef de l'Opposition officielle, député de Saint-Jérôme


Publication: Mis à jour: 

16 octobre 2015

JE ME SOUVIENS DU MAL QUE LE PARTI LIBÉRAL...

JE ME SOUVIENS DU MAL QUE LE PARTI LIBÉRAL DU CANADA, ACTUELLEMENT DIRIGÉ PAR JUSTIN TRUDEAU, A FAIT ENDURER À LA NATION QUÉBÉCOISE

1969 : Expropriation illégale et illégitime de 97 000 acres de terrain à Mirabel à des fins aéroportuaires, alors que la moyenne mondiale était de 5000 acres environ;

1970: Application de la Loi sur les mesures de guerre au lieu du code criminel pour justifier la suspension des droits fondamentaux des québécois;

1975: Décret interdisant aux gens de l'air francophones (contrôleurs et pilotes) de parler français entre eux sur le territoire québécois;

1980: Promesse fallacieuse à l'effet qu'un NON à la question référendaire voudrait dire un OUI à un changement constitutionnel;

1981: La nuit des longs couteaux où le gouvernement fédéral et la majorité des provinces se sont entendus pour trahir la parole donnée au premier ministre René Lévesque;

1982: Rapatriement unilatéral de la constitution contre la volonté de l'Assemblée nationale et imposition du multiculturalisme comme modèle d'intégration des immigrants;

1995: Dépenses frauduleuses du camp du NON lors du référendum et serment de citoyenneté accéléré en faveur de milliers d'immigrants;

1997: « Stratagème fédéral visant l'utilisation de fonds publics pour financer diverses opérations de relations publiques pour contrecarrer les actions du Parti québécois »;

2000 : Loi sur la clarté portant sur les conditions de « clarté » préalables à toute négociation advenant un OUI lors d’un prochain référendum;

2005: Éclatement du scandale des commandites où le montant de fonds publics investis par le fédéral est évalué 332 millions environ;

2005: Premier rapport du juge Gomery démontrant que le programme des commandites a servi à alimenter un système complexe de pot-de-vin profitant au Parti libéral;

2015: Campagne électorale où Justin Trudeau n’a jamais reconnu les préjudices graves que les gouvernements du Parti libéral ont fait subir à la nation québécoise;

2015 : Le 19 octobre, les québécois majoritairement se souviendront qu’ils ne peuvent faire confiance au Parti libéral de Justin Trudeau qui les a tellement trahis dans le passé;

2015 : Ils se souviendront aussi qu’il n’y a qu’un seul parti qui s'est engagé à libérer la nation québécoise de la tutelle canadienne et c'est le Bloc québécois.

Me Guy Bertrand
http://on.fb.me/1OJ3cto
Me Guy Bertrand

14 octobre 2015

Assemblée des Patriotes de l’Amérique française
Yves Saint-Denis, président       613 632-7576       saintdenis@sympatico.ca
 C. P. 203, 1903, route du Long-Sault, Chute-à-Blondeau en Ontarie, KOB 1B0


Maxime Laporte sonne la réveil

            « Il est temps que la volonté démocratique se fasse enfin verbe au Québec ».  C’est un appel pressant au peuple que lance Maxime Laporte, le vigoureux président de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (Le Devoir, 7 octobre 2015, p. A 8).  Bien au-delà des souillures générées par l’erratique Mame Thibault, c’est l’éradication de toute trace monarchique qu’il réclame.
            Le système seigneurial a été aboli au Canada français il y a quelque 160 ans, peu après la venue du gouvernement responsable, des institutions démocratiques.  Ces noblesses de postes, de rangs, de titres, cet aplatventrisme devant la couronne britannique sont désuets, rétrogrades, passéistes.  Seule la noblesse d’âme doit perdurer, la fierté de l’être dans son élan de liberté.  Et dans leur quête d’idéal vers un pays de langue française, les âmes bien nées ne doivent plus parler de souveraineté mais bien d’indépendance.

Yves Saint-Denis, M. A., Ph. D.
Président

Assemblée des Patriotes de l’Amérique française

8 octobre 2015

Prière de Sainte-Thérèse


Sainte-Thérèse

LA PRIÈRE EST PUISSANTE ! Ceci vous démontrera à quel point la prière est puissante. Regardez la photo, lisez la prière, faites un vœu puis relisez la prière. Que tous ceux qui reçoivent ce message soient bénis.

Prière de Sainte-Thérèse. Ne peut être supprimée ! Pensez à faire un vœu avant de lire la prière. C'est tout ce que vous avez à faire. Ensuite, partagez simplement ceci avec d'autres et regardez ce qui arrivera le quatrième jour. SVP, ne brisez pas cette chaîne. Les prières sont un des plus beaux cadeaux gratuits que nous recevons. Lisez la prière qui suit :

Prière de Sainte-Thérèse 

Puisses-tu avoir la paix intérieure aujourd'hui. Puisses-tu avoir la certitude que Dieu t'a placé exactement où tu devais être. Puisses-tu ne pas oublier les possibilités infinies qui émanent de la foi. Puisses-tu utiliser ces cadeaux que tu as reçus et transmettre l'amour qui t'a été donné. Puisses-tu être heureux de savoir que tu es un enfant de Dieu. Laisse cette présence s'enfoncer jusqu'au fond de toi, permet à ton âme de chanter. Danse, glorifie, aime. C'est là pour chacun de nous.

Maintenant partagez ce message avec vos contacts, tous méritent d'avoir accès à la puissante énergie que contient La Prière. Après avoir fait et partagez cette prière, vous recevrez ce qui est bien et bon pour vous, là où vous en avez besoin.

Croyez-y.