16 juin 2015

La schizophrénie des solidaires

Logo d'un parti politique québécois

Québec solidaire soufflera ses 10 chandelles en février prochain. Dix ans pour une formation politique, c’est assurément l’âge de raison, voire même l’âge adulte. Le plus récent bilan du parti dressé par la porte-parole Françoise David n’en faisait certainement pas la démonstration.

Mais, pour ce qui est de ses rapports avec le Parti québécois, les élus de Québec solidaire semblent souffrir de schizophrénie.

D'une part, sa porte-parole ne rejette pas l’idée d’une alliance électorale avec le PQ tandis que, d’autre part, toutes les occasions sont bonnes pour attaquer l’opposition officielle et son nouveau chef dans l’espoir d’élargir sa base électorale.

Il est bien difficile de réconcilier ces deux attitudes.

Laurent Desbois 
par Michel Pepin, 13 juin 2015

Utilisation de la colère et les insultes



Je fatigue vraiment de voir les gens utiliser la colère et les insultes pour imposer leur opinion sur les autres. C'est triste parce que la majorité des gens que je suis sur Facebook ont des opinions intéressantes et les moyens intellectuels de défendre leurs idées sans sombrer dans l'intimidation et la calomnie.

Beaucoup d'entre vous souhaitez participer à l'édification d'un Québec plus fort, plus démocratique et, pour plusieurs, indépendant. Je souhaite que vous puissiez avoir conscience que le Québec que nous constituerons sera à notre image et qu'il importe donc que nous appliquions d'abord à nous-même les principes de grandeur que nous souhaitons insuffler au Québec de nos enfants et de nos petits-enfants. Il faut savoir militer avec fermeté plutôt qu'avec hargne, sur le plan des idées plutôt que sur celui de la domination.

C'est pourquoi il existe cette fabuleuse citation qui nous rappelle de nous transformer soi-même avant de vouloir changer le monde. Cela n'est pas une mince tâche, mais je souhaite que nous nous y mettions avec toute la passion et la motivation qui nous caractérise.

À bon entendeur. Bonne soirée !


Frank Malenfant
Facebook15166

12 juin 2015

L'arrêt du financement du lieutenant-gouverneur


Drapeau du lieutenant-gouverneur du Québec


Pourquoi c'est important ?

Pourquoi c'est important ?

La très grande majorité des Québécois souhaitent mettre fin au poste de lieutenant-gouverneur comme étant chef de l'État québécois. L'État québécois n'est pas une colonie britannique. 

En outre nous souhaitons que le chef de l'État soit démocratiquement élu. 

En attendant le président de l'Assemblée nationale pourrait assumer ce rôle. 

En arrêtant le financement du lieutenant-gouverneur, le gouvernement du Québec démontrera sa volonté de se gouverner lui-même, sans avoir besoin qu'un représentant de la monarchie britannique sanctionne, valide ses lois.


Signez la PÉTITION :

http://bit.ly/1soBgO1

Je suis ce peuple


Je suis un peuple qui historiquement est lié au mot bravoure.
Je suis un peuple qui ouvre grand son cœur et qui t'accueille avec amour.
Je suis un peuple divisé entre cette bravoure et la couardise.
Je suis un peuple qui n'en finit plus de se relever face à tant d'années de traîtrises.
Je suis un peuple que l'on veut éteindre.
Je suis un peuple mené par des ministres prenant serment en anglais pour mieux me faire mal et m'atteindre.
Je suis un peuple qui de génération en génération voit des rêves s'évanouir dans des regards tristes de nos ainé(e)s.
Je suis un peuple bafoué, volé, violé.
Je suis un peuple d'octobre, criant haut et fort le poing levé sa quête de liberté.
Je suis un peuple aimant qui ne demande que le respect et la reconnaissance de ses droits francophones.
Je suis un peuple qui rêve de hisser, un jour, une grande voile sur un vaisseau dormant depuis trop longtemps, comme un cri d'automne.
Je suis un peuple qui croit en lui et qui espère.
Je suis ce peuple rassemblé patriotiquement, en attente de ce moment, avec mes sœurs et frères.
Je suis ce peuple et il s'appelle Québec
Je suis ce peuple qui veut juste qu'on le respecte.
Je suis ce peuple qui ne veut pas mourir ensevelit dans une terre en glaise.
Je suis ce peuple embourbé dans de$ marai$ fédéraliste$.
Je suis ce peuple gentil et ouvert que l’on traite de raciste.
Je suis ce peuple qui n’arrête pas de payer et de se faire taxer.
Je suis ce peuple qui un jour ira s'affirmer.
Je suis ce peuple qui a un si bel héritage à protéger, une belle langue française.
(René Déry)

9 juin 2015

La dette de l'Ontario envers le Québec



L'article 112 dit ceci :
La dette de l'Ontario envers le Québec était de 6 115 085, 95 $ en 1867. En dollars de 1995, il s'agirait donc d'une dette de 122 637 742 972, 95 $. Si nous calculons le montant de la dette à 5% d'intérêt depuis 1867, cette dette impayée prise en charge par la confédération canadienne écrite dans le BNA act envers le Québec est de $ 4,905,509,771,891.80 en 2015. MAIS IL FAUT RÉALISER QU’UNE DETTE INPAYÉE À DU 5% INTÉRÊT L'AN DOUBLE À TOUT LES 10 ANS.
Il ne faut pas oublier qu'à l'époque, il était entendu que le Trésorier provincial, ainsi qu'on nommait le Ministre des Finances, devait être un Anglais. Ce principe était si pesant que le refus des Anglais de se faire représenter au conseil des ministres bloqua la tentative du premier ministre du Québec, Joseph Cauchon, de former un gouvernement.[6] Il ne faut pas oublier non plus que les procès-verbaux du conseil des ministres se rédigeaient en anglais.

Il serait aussi possible de tenir compte de dommages dans le calcul de l'intérêt. Il est évident que l'Ontario a profité de pouvoir tranquillement oublier une dette d'un tel poids en 1867.

N'oublions pas que le Trésorier du Québec affirmait en 1870 que la dette équivalait aux investissements en infrastructure nécessaires au Québec. Non seulement faut-il mettre dans la balance la dette ontarienne envers le Québec, cette dette annule complètement toute part de la dette fédérale pour le Québec. Plus encore, elle permettrait de réclamer une « indemnité de départ » pour le Québec. Une telle indemnité aurait une signification profonde, et réelle. Le Québec a été défavorisé dans son développement économique et culturel depuis, au moins, 1867

Mentionnons seulement le million de Québécois qui sont partis aux États-Unis entre 1850 et 1930, dont les descendants seraient des producteurs et des citoyens actifs. Si l'Ontario a réussi, pendant le même temps, à prendre une expansion économique le double ce celle du Québec, ne serait-ce pas justement parce qu'elle a pu profiter des six millions non remboursés de 1867 ?
Au fond, qu'il s'agisse de billions ou de milliards, les montants que nous avons retrouvés ont un sens très précis: ils sont le coût du fédéralisme, pour utiliser un concept actuel. Le désavantage pour le Québec pourrait être calculé dans le taux d'intérêt, comme « dommages punitifs », selon le mot des hommes de loi. Toutefois, le calcul selon un taux d'intérêt perdrait alors l'avantage de son objectivité, soit plus de 5% d’intérêts.
À tout le moins, le gouvernement du Québec ne devrait prendre aucun engagement, formel ou autre, quant au transfert d'une partie de la dette fédérale au Québec. Toute la question des dettes antérieures, comme celle que nous avons examinée ici, doit être analysée et soumise à un arbitrage international, intègre cette fois, avant que le Québec ne s'engage pour un seul sou de la dette fédérale. S'il est impossible de récupérer une partie de notre dû, alors, que le Canada et le Québec se quittent et se donne quittance avec le Labrador en entier ainsi que la découpure du Québec qui comprend la moitié de la mer Hudson, tout droit dans l'article à la frontière avec la Russie avec la signature comme témoin du secrétaire des Nations Unies, et les nôtres sur le même document de quittance.

André Desnoyers


5 juin 2015

Non aux génocidaires de toutes origines!




Non aux génocidaires de toutes origines!

Écrire aujourd’hui fièrement le passé de notre avenir!

Amherst

Amherst

Gatineau, le 1er juin 2014 – Impératif français croit le temps venu pour le Québec de faire le ménage dans la toponymie de certains lieux publics sans pour autant être accusé de pratiquer un « révisionnisme historique ».

En effet, que des politiciens appuient, pire défendent et reconfirment, les noms de criminels pour désigner des lieux publics est purement honteux et scandaleux. Selon le président d’Impératif français, Jean-Paul Perreault, leur responsabilité n’est pas de justifier l’injustifiable, mais de corriger les erreurs historiques, de permettre aux citoyennes et citoyens d'aujourd’hui d’écrire fièrement le passé de leur avenir.


Moncton

Moncton
Le Québec n’a pas à honorer des criminels de guerre de tout acabit que ceux-ci soient allemands, français, anglais ou chrétiens, musulmans, juifs ou agnostiques!

Nous n’avons pas besoin au Québec de lieux publics rendant hommage à des Moncton, des Philipp-Lenard*, des Alexis-Carrel*, des Colborne, des Amherst…






Colborne

Colborne
Tout comme le Centre commémoratif de l’Holocauste (CCHM) de Montréal, Impératif français demande aux municipalités du Québec, notamment à la Ville de Gatineau, de cesser de salir et de déshonorer le Québec sur la scène internationale.










Sur le même sujet :

*Centre commémoratif de l’Holocauste sur la controverse

La rue Amherst garde son nom


Source :

Jean-Paul Perreault
Président
Impératif français
Recherche et communications
5 juin 2015
http://www.imperatif-francais.org/s1-articles/articles-2015/non-aux-genocidaires-de-toutes-origines/