17 septembre 2015

Des anglos contre-attaque

Des anglos militent pour un affichage bilingue des commerces en zones majoritairement anglophones.

Benoit Dutrizac en parle avec Colin Standish, Harold Staviss (instigateur de cette campagne) et Beryl Wajsman, éditeur du Suburban.
http://on.fb.me/1Fjvskt

Commentaire :
Au même moment où ces anglophones exigent ce bilinguisme, les francophones hors-Québec ont compris la loi non écrite que, pour pouvoir nourrir leur famille, ils doivent parler l'anglais qui est la langue commune des lieux là-bas. Le français, leur langue maternelle, est alors relégué à la zone individuelle et aux autres endroits là où le nombre le justifie selon la loi canadienne. Y compris dans l'affichage. 
Le nombre d’anglophones du Québec qui comprennent que le français est la langue commune ici augmente continuellement, ce qui ne les empêchent pas de parler leur langue maternelle dans leur zone individuelle. De plus, ils possèdent des maisons d'éducation que leur reconnaît officiellement la loi linguistique du Québec et jouissent de nombreuses stations radiophoniques et télévisuelles dont ne peuvent profiter les francophones hors-Québec. 
En conséquence, les anglophones d'ici apprennent à vivre dans un environnement linguistique qui n'est pas celui de leur langue maternelle alors que les francophones hors-Québec apprennent à vivre dans un environnement linguistique qui n'est pas celui de leur langue maternelle.
Ainsi, les anglophones qui ne l'ont pas encore accepté devraient appendre que le Québec possède une langue commune soit le français. Y compris l'affichage.
Ainsi, les 6 000 anglophones qui souhaitent éliminer l'Office de la langue française devraient donc accepter la langue commune d'ici et arrêter de harceler les gens avec leur bilinguisme de perroquet. Il leur faudrait apprendre que l'affichage en français ne marque pas un manque de respect mais est un gage de clarté et de facilité pour la compréhension des clients. Tout ce qui est en français s'adresse à tout le monde. Il m'apparaît que de plus en plus de citoyens anglophones (y compris des gens d'affaires), tout en étant bilingues ou trilingues, semblent accepter ce fait.
Je crois que la grande majorité des anglophones du Québec aiment le Québec et veulent continuer à vivre ici. J'ai vécu 30 ans dans l'Ouest-de-l'île de Montréal et au fil des années, j'ai constaté qu'une réelle proportion d'anglophones ont appris ou parlent le français,

JG Plante,
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3 commentaires:

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    1. Les Anglos contre-attaque, fort problable d'un aide de Thomas Mulclair, aspirant premier ministre et avocat d'Alliance Québec qui a combattu la Loi 101 jusqu'en Cour suprême et des QuébécoisEs qui veulent voter pour le NPD selon les sondages arrangés par la presse les médias sous contrôlent des fédéralistes-mondialiste ils veulent profiter du moment pour recaler les Québécois dans leur médiocrités d'avant la Loi 101…

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    2. J'ai effacé mon premier commentaire pour y ajouter trois mots manquant à la première phrase : (probable d'un aide) et corriger l'orthographe à probable... merci de votre indulgence...

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