Pas besoin d'attendre d'avoir des difficultés respiratoires pour espérer retrouver une voiture électrique devant soi, lorsque l'on est arrêté, avec une voiture qui cracher du monoxyde de carbone, en hiver, un polluant toxique qui entre dans notre système de ventilation.
Demandons à nos politiciens de prendre leurs responsabilités, le Québec possède de l'électricité, elle est abondante, fiable, à prix fixe, verte, et les revenus vont demeurer au Québec, tout en soulageant le système de Santé et les personnes.
Les dirigeants d'Hydro-Québec doivent agir et doter le Québec de points de rechargement des batteries, sinon, le Québec sera encore le dernier État équipé pour répondre à la demande de ses concitoyens, malgré tous les avantages possédés. Peut-être que le boni aux dirigeants devrait être conditionnel à ce que ce défi soit relevé avec succès.
André Mainguy
La batterie phosphate-fer-lithium - Une « clause Québec » controversée
Michel Gauthier accuse notamment l'ancien président d'Hydro-Québec, André Caillé, et l'actuel président, Thierry Vandal, de n'avoir pas vu le potentiel d'une autre technologie, celle que possédait Avestor, sur laquelle il a aussi travaillé. Il soutient qu'elle a été vendue « au rabais » au groupe français Bolloré, qui vient d'annoncer un investissement de 176 millions dans sa filiale québécoise pour développer précisément ce type d'accumulateur qu'on retrouvera dans la Blue Car, l'équivalent du Bixi sur quatre roues dans les rues de Paris.
Depuis 2008, accuse ce chercheur, Hydro-Québec tente d'inciter Phostech, qu'il a pourtant contribué à créer avec d'autres partenaires, à abandonner l'exclusivité de ses droits sur les batteries phosphate-fer-lithium « pour pouvoir retirer immédiatement des revenus de licence de futurs licenciés asiatiques ». Mais, dans ces pourparlers, Hydro-Québec aurait manifesté son intention de ne pas exiger l'application de la « clause Québec » inscrite dans la cession de droits exclusifs à Phostech, en échange d'une dizaine de millions et d'éventuelles redevances. En vertu de cette clause, le tiers de la production d'un licencié doit se faire au Québec.
Selon le chercheur Michel Gauthier, une telle clause offre un énorme potentiel de développement économique et technologique au Québec, tout en étant suffisamment souple pour que de grands fabricants asiatiques puissent consolider cette technologie sur leur marché.
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Depuis 2008, accuse ce chercheur, Hydro-Québec tente d'inciter Phostech, qu'il a pourtant contribué à créer avec d'autres partenaires, à abandonner l'exclusivité de ses droits sur les batteries phosphate-fer-lithium « pour pouvoir retirer immédiatement des revenus de licence de futurs licenciés asiatiques ». Mais, dans ces pourparlers, Hydro-Québec aurait manifesté son intention de ne pas exiger l'application de la « clause Québec » inscrite dans la cession de droits exclusifs à Phostech, en échange d'une dizaine de millions et d'éventuelles redevances. En vertu de cette clause, le tiers de la production d'un licencié doit se faire au Québec.
Selon le chercheur Michel Gauthier, une telle clause offre un énorme potentiel de développement économique et technologique au Québec, tout en étant suffisamment souple pour que de grands fabricants asiatiques puissent consolider cette technologie sur leur marché.
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JCPomerleau
----- Message d'origine -----
De : André Mainguy
Envoyé : 30 avril 2011 09:13
Objet : [SynapseEnergie] Batterie au lithium: Une autre braderie
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