18 octobre 2011

drapeau blanc


Bonjour,

Une opportunité s'offre à nous pour nous aider à régler les maux de la politique qui nous affligent de toutes sortes de manigances qui nous ont enlevé notre enthousiasme envers la politique en général.

N'hésitez pas à visiter le site Internet du parti.

Mes salutations et bonne lecture !




À partir du 15 octobre, brandissons le drapeau blanc pour exiger la démocratie
par Nicolas Falcimaigne, mercredi 12 octobre 2011, 11:10
Le drapeau blanc, signe de ralliement des Sans-parti! - Communiqué

Trois-Pistoles, 11 octobre 2011. Les Sans-parti, mouvement politique citoyen récemment créé, ont adopté le drapeau blanc comme signe de ralliement pour signifier leur volonté de mettre fin aux guerres de partis et repartir à neuf avec une démocratie fondée sur les citoyens. Tous ceux qui veulent faire le grand ménage de notre démocratie, plus que jamais malmenée par les banques, les grandes entreprises et les grands partis politiques, sont invités à arborer le drapeau blanc comme signe de ralliement, dès les manifestations d'indignation prévues samedi prochain dans plusieurs villes du Québec et du Canada.

Plus de 225 personnes ont déjà signé le manifeste des Sans-parti, dont plusieurs personnalités impliquées dans des luttes citoyennes et le combat pour une réforme complète de nos institutions démocratiques, comme Claude Béland, André Larocque, Mikael Rioux, Éric Proulx, Johanne Roussy, Annie Landry, Stéphane Rouillon, etc. On peut encore signer le manifeste sur www.sansparti.org .

Les Sans-parti proposent rien de moins qu'une coalition de 125 candidats indépendants aux prochaines élections, lesquels s'engageraient à convoquer une assemblée constituante de citoyens dont le mandat serait de réaliser, par la rédaction d'une première constitution pour le Québec avec la participation de toute la population, une réforme complète de nos institutions démocratiques, et cela, dans un délai de deux ans.
Un comité provisoire, composé de 7 personnes et coordonné par Nicolas Falcimaigne, un jeune militant basé dans le Bas-St-Laurent et doté d'une solide expérience dans les mouvements démocratiques et coopératifs, convoque aujourd'hui les signataires du Manifeste à une première assemblée d'organisation qui se tiendra à Québec à la mi-novembre. À cette rencontre, les participants jetteront les bases d'une coopérative de solidarité dont un des mandats sera de fournir des services aux candidats sans-parti qu'elle entend présenter lors de la prochaine campagne électorale.

Les Sans-parti, grâce à leur stratégie simple, concrète et ouverte, espèrent pouvoir offrir une véritable alternative aux partis conventionnels qui n'envisagent pas sérieusement de changer les règles du jeu démocratique.« L'assemblée constituante, affirme Nicolas Falcimaigne, demeure la seule voie possible pour renouveler notre démocratie et permettre aux citoyens de faire valoir leurs volontés dans un délai raisonnable. Et nous sommes les seuls pour le moment à offrir une stratégie électorale pour y parvenir. »

Information : Nicolas Falcimaigne : 418-860-1609
sansparti@falcimaigne.com www.sansparti.org

1 commentaire:

  1. COPIER/COLLER d'un courriel reçu :

    Bonjour M. Falcimaigne,

    J'ai fondé le Parti République du Québec en 2005 et l'ai officialisé au DGE (Directeur général des élections) avec les agents officiels requis et un conseil d'administration.

    Inutile de vous dire que les gros Partis n'ont pas appréciés, mais pas du tout, le programme du PRQ, car j'en connaissais le devis Kamikase avant toute élection électorale...J'en ai vécu l'expérience aux élections partielles de Vaudreuil-Soulanges m'y présentant candidat officiel, mais dont les médias régionaux de Soulanges ont vite fait de saboter la campagne par des ordres venus d'en haut.

    Le Québec n'est pas prêt pour se dissocier de la monarchie parce qu'il n'a aucun programme, aucun projet de société en remplacement du 'pseudo-confort' que lui offre Ottawa.

    Vous allez me pardonner cette métaphore, mais ''Le beau au Bois dormant'' doit rester somnolant et non informé.

    Jamais, les médias ont couvert mes prestations publiques.

    Au lancement, tout au plus, Radio-Canada m'a envoyé un bouffon d'Infoman pour m'humilier, moi et mon Parti embryonnaire tué dans l'oeuf.

    Selon la Loi, R-C et les médias officiels doivent divulguer sinon radiodiffuser un minimum de temps-minutes en ondes aux fins de démocratie payés à même nos taxes non pas de les marginaliser...

    Qui plus est, sous Harper, Sa Majesté la reine Élisabeth II s'installe à jamais sur le Commonwealth et ses sujets (dont la Colonie du Canada, Canada Dominion) assumeront ses taxes (17 $, milliards à la City Bank en 2008-09) pour cette fois seulement!

    Alors, NEXT, qui veut aller en politique?

    Moi, ça m'a coûté 20,000 $ et presque un divorce.

    J'ai donné au suivant à savoir si la politique m'intéresse toujours .

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